1. La Palmyre (2)


    Datte: 31/08/2018, Catégories: groscul, poilu(e)s, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Mari comblé, Source: Revebebe

    ... décontractée. Armelle embrassa Patrick et ne put pas ne pas sentir l’érection contre elle. Les deux femmes étendirent les serviettes sur le sable. Isabelle dit à Armelle :
    
    — Tu vas rester couverte comme en plein hiver ?
    
    Elles rirent et, à ma grande surprise, Armelle se déshabilla, elle qui avait toujours remis à plus tard la moindre ébauche de nudisme. Elle quitta le bas du maillot en premier tendant ses grosses fesses vers moi. Sa chatte poilue semblait encore plus sombre dans la lumière blanche. J’étais certain qu’elle prolongeait exprès la position qui me permettait de voir son petit trou sombre bien exposé et presque ouvert… Cela aggrava encore ma tension.
    
    Lorsqu’elle se retourna vers moi, elle souriait. Sa chatte sombre semblait encore plus touffue et sa peau plus blanche avec le soleil. Ses pointes de seins, je la connaissais bien, étaient complètement dressées, grosses, épaisses… Et ce n’était ni le froid ni le vent. Ses tétons semblaient intéresser Isabelle qui, elle, avait des gros seins mais de petits tétons noyés dans une aréole très large et assez pâle. Armelle me lança :
    
    — Mon chéri, tu as dû oublier quelque chose…
    
    Elle me montra le slip de bain un peu déformé. J’eus l’impression que les deux femmes attendaient que je le retire… mais que Patrick aussi était intéressé car il ne chercha pas à dissimuler son regard lorsque je baissai le maillot et dégageai la verge tendue à exploser. Je me trouvai un peu idiot, immobile devant eux trois, bandant à ...
    ... fond. Isabelle rompit le silence :
    
    — J’adore les bites circoncises : je trouve ça super beau.
    
    Elle parlait tout naturellement.
    
    — Patrick ne veut pas, il dit que ça doit faire mal. Mais avoir le gland toujours nu je trouve ça très excitant.
    
    Je répondis comme s’il s’agissait d’un autre :
    
    — Mal ? Je me souviens pas, j’étais petit et mes parents ont dû me faire opérer, car le prépuce était trop serré.
    
    Armelle, que je ne reconnaissais décidément pas, enchaîna :
    
    — C’est vrai qu’un gland nu est très beau, mais celui de Patrick aussi est bien dégagé.
    — Oui, mais il se recouvre dès qu’il débande.
    
    Elle s’approcha de son mari et tira délicatement sur le prépuce qui vint recouvrir le gland. Elle voulut remettre la petite peau sous le rebord ourlé du gland, mais les quelques attouchements nécessaires suffirent à déclencher une superbe éjaculation tellement l’excitation de Patrick avait été prolongée. Armelle n’avait pas perdu une miette du spectacle. Isabelle avait recueilli le liquide épais et blanc dans sa main et s’en frotta le ventre comme avec une crème.
    
    — C’est très bon pour la peau.
    
    Elle se tourna vers Armelle :
    
    — Tu en veux un peu ?
    — Non merci, j’ai aussi mon tube sous la main, dit-elle en riant.
    
    Elle s’approcha et, sans que je fasse le moindre geste, se saisit de ma verge, frotta rapidement et recueillit le liquide abondant que je lâchai en fortes giclées dans sa paume. J’étais vidé mais le plaisir avait été extraordinaire. Armelle se frotta ...
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