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La Palmyre (2)
Datte: 31/08/2018, Catégories: groscul, poilu(e)s, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Mari comblé, Source: Revebebe
... de Sonia. Nous avons déjeuné rapidement et j’expliquai à Armelle ce que Philippe m’avait dit sur les plages. Nous décidâmes de suivre ses conseils et d’aller sur la grande plage du phare. Il m’avait prévenu qu’il fallait marcher un bon moment pour traverser les dunes, très larges à cet endroit, et qu’il était interdit pour la préservation de la flore de s’éloigner des sentiers. Nous préparâmes le sac de plage avec autant de soins que lorsque nous avions les enfants. Armelle fit le tri de quelques tubes de produits solaires périmés, mais qu’elle avait quand même jugé utile d’emporter. Elle était venue avec deux maillots. Elle choisit un bleu très pâle qui s’accordait assez bien à la teinte du paréo. C’était un deux pièces qui faisait un peu « mémère » à mon goût, mais je me gardai de toute remarque. Le soutien-gorge était assez enveloppant et la culotte échancrée moulait tout de même les fesses et soulignait le renflement du pubis en laissant échapper quelques poils noirs qui me rappelèrent la vulve toute lisse de Sonia. Mais il ne fallait pas rêver. La marche dans le sable mou était fatigante, mais la récompense fut magnifique. L’océan immense et bleu et la plage de sable blanc que l’on découvrait au sommet de la dernière dune faisaient oublier la sueur et le poids du sac. Aucune cabane à frites en vue si ce n’était peut-être une sorte de ponton de bois, mais très loin… Nous nous étions sans doute trompés d’accès. Nous en discutâmes, il était trop tard pour ...
... revenir en arrière et, de plus, nous n’avions pas donné de rendez-vous ferme aux voisins. Armelle voulut marcher un peu dans les dunes malgré la chaleur. J’avais enlevé le tee-shirt et ne gardai que le maillot de bain. Armelle marchait en maillot. Les buissons d’épineux qui fixaient le sable des dunes nous avaient un peu griffé les mollets et nous décidâmes de chercher un coin pour nous fixer. Un peu plus haut, nous avions repéré un petit bosquet d’acacias qui pourraient aussi nous protéger du soleil brûlant. Nous n’avions croisé que deux personnes : un couple assez âgé. Très bronzés tous les deux, ils marchaient vers l’eau. Ils étaient entièrement nus sans la moindre trace de maillot. Ils devaient avoir la soixantaine, mais leur corps à tous les deux était bien conservé et entièrement épilé. J’avais surpris le regard d’Armelle sur le sexe rasé de l’homme. Il avait un sexe fin mais très long avec des testicules qui pendaient bas et qui tressautaient à chaque pas. La femme était mince voire maigre avec des petits seins plats qui pendaient, mais des jambes bien faites et une vulve complètement lisse avec des grosses lèvres. Je sentis mon sexe se dresser dans mon maillot en pensant à Armelle : si elle était rasée, elle aurait un sexe semblable à celui de cette femme. Armelle avait remarqué le changement de mon anatomie et passa une main sur mon maillot. — Les vieilles te font bander maintenant ? dit-elle en riant. — Ce ne sont pas les vieilles qui me font bander, mais, comme ...