1. À toi, mon vieux copain


    Datte: 07/01/2023, Catégories: hh, sauna, cinéma, toilettes, collection, cérébral, revede, vidéox, intermast, Oral uro, init, gay Auteur: Vittorio, Source: Revebebe

    ... refermèrent sur la bite de mon voisin et je commençai instinctivement un va-et-vient.
    
    L’homme posa à nouveau sa main sur mon entrejambe et recommença ses caresses. Les yeux fixés sur l’écran du cinéma je sentais mon cœur battre à la chamade. Une excitation inédite des milliers de fois supérieures à ce que j’avais connu jusque-là m’embrasait. Du bout des doigts, j’effleurais le sexe de mon voisin de la base jusqu’au gland, que mon index caressa pour étaler la goutte de liquide séminal qui en sortit. Puis ma main descendit, cette fois de façon un peu plus appuyée, et tira le prépuce pour le couvrir le gland et le découvrir plusieurs fois.
    
    D’imperceptibles gémissements s’échappaient de la bouche de mon voisin qui avait sorti ma bite et la branlait sans ménagement. Moi, par contre, j’étais lent et délicat dans mes mouvements, car je voulais déguster patiemment les sensations et les plaisirs nouveaux qui envahissaient mon cerveau. Je ne voulais pas tant donner du plaisir, mais en prendre.
    
    Au moins 15 minutes passèrent ainsi jusqu’à ce que mon voisin lâche mon sexe pour se branler et jouir. Il souffla un « merci » à mon oreille en se levant, puis partit.
    
    Je me remis à me masturber pour jouir quelques minutes après. À ce moment-là, j’ignorais que cet événement somme toute minime causerait une forte et longue addiction. Addiction aux sexes des hommes… aux bites ! À partir de ce jour-là, je ne me masturbais plus sans que le désir de bites m’envahisse. Quand je faisais ...
    ... l’amour avec ma femme ce n’était pas pareil, je me sentais entièrement hétéro. Étais-je devenu gay ? Bi ? Après tout, peu importe le nom… Seul le désir compte ! Moi je désirais les deux, les femmes et les grosses bites.
    
    À partir de ce jour-là je n’attendis pas que les situations se présentent à moi, je les cherchais et provoquais activement. Il m’arrivait de changer quatre fois de place dans un ciné porno pour trouver ce que je cherchais : une queue bien tendue entre mes doigts. Je m’arrangeais plus souvent pour aller à Paris où je traînais dans des sex-shops ou des cinés pornos à branler des mecs. C’était devenu une vraie addiction…
    
    Mais dans les choses sexuelles, l’intensité du désir te pousse toujours à aller plus loin, et c’est ainsi que je commençais à sucer… Pas tout de suite, d’abord ça m’excitait de coller et frotter mon visage tout comme mon cou à une bite dure… Ensuite seulement je commençais à la lécher timidement avant de prendre juste le gland dans ma bouche et le sucer. Maintenant, quand j’en trouve, je les dévore comme un dingue.
    
    J’étais toujours marié lorsque je changeai de poste dans mon travail, et mes déplacements à Paris devinrent rares. Je cherchai alors près de chez moi, à Lyon, des relations furtives. Je découvris qu’à la tombée de la nuit, les toilettes publiques et leurs urinoirs, ou les coins isolés des parcs offraient des occasions d’assouvir ma dévorante envie de bites. Je devins un adepte du jogging pour avoir un prétexte de sortir les fins ...