1. Une histoire de famille - Suite et fin


    Datte: 06/01/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, cadeau, alliance, vacances, piscine, fsoumise, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, prememois, Auteur: Vixera, Source: Revebebe

    ... honte. J’avais vingt et un ans, il en avait trente-cinq, c’était mon oncle, mais je me souviendrai toujours de ce moment hors du temps. Au fur et à mesure que son sexe allait et venait en moi, j’ai eu sincèrement l’impression que mon vagin se faisait à sa taille. Cette sensation m’a fait perdre pied, je me faisais pistonner par la queue d’un homme, les cuisses grandes ouvertes et j’aimais cela, j’ai contracté tant et plus pour le sentir encore et encore, je voulais lui rendre la tâche compliquée pour qu’elle dure, je voulais que ma première fois soit magique, j’avais honte, mais je voulais me faire labourer. Je voulais subir son piston sans ménagement… oui, je crois qu’à ce moment précis je voulais être chienne, je voulais l’exciter à fond, je revois encore ses yeux surpris lorsque je lui ai plaqué les mains sur les fesses en lui disant:
    
    — Vas-y, défonce-moi, allez, prends-moi avec ta grosse queue, je suis ton objet, accélère encore que je sente ta bite bouger en moi, allez, oui, c’est cela, défonce ma chatte, écarte-là à ta guise….
    
    Franchement je ne sais plus qui a joui en premier ! J’ai souvenir d’avoir crié comme cela ne m’est pas arrivé depuis, j’ai souvenir de cette violente électrisation de tout mon corps, de cette envie que cela cesse pour préserver mon cœur, mais qu’en même temps cela ne s’arrête jamais, ...
    ... j’ai compris le sens de l’expression « petite mort », j’ai compris qu’il serait à présent difficile de me passer de sexe, j’ai compris qu’il fallait que je profite de ma vie, j’ai compris… j’ai compris… j’ai compris.
    
    — Et votre oncle, vous l’avez revu depuis ?
    
    Alors, les yeux pleins de larmes, je lui ai dit d’une traite :
    
    — Non, il est parti en mission en Australie pour un problème de maintenance aéronautique dans son boulot de merde, on s’est écrit tous les jours par Whatsapp, on avait des tas de projets et on était prêt à affronter le monde et puis… et puis… il y a eu ce con de chauffeur de poids lourd alcoolique, cette saloperie de merde, concentré sur la clope qu’il avait fait tomber entre ses jambes tellement il était bourré. Mon oncle… mon Stéphane… il était arrêté à un feu rouge, il était à deux kilomètres de l’aéroport, sur le trajet qui le ramenait dans mes bras… Putain, juste deux kilomètres… sa voiture a été totalement broyée sous le choc, il a été massacré… défiguré… je n’ai même pas pu le revoir une dernière fois, l’embrasser une dernière fois, lui dire à quel point je l’aimais… une dernière fois…
    
    Puis j’ai regardé ce maudit psy qui semblait jouer avec son crayon et je lui ai dit :
    
    — C’est à cause de ça que je suis devant vous. À cause de ça…
    
    Et je me suis effondrée en larmes une nouvelle fois. 
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