Une histoire de famille - Suite et fin - Histoires de Sexe

Une histoire de famille - Suite et fin

... de décider. C’est ton moment de femme. Si tu le souhaites, je t’offre ma verge. C’est à toi de choisir et à personne d’autre.

Je le regarde. Je suis surprise par ce grand discours. Je veux en discuter pour savoir exactement ce qu’il veut dire et me redresse sur lui. Aussitôt, son sexe entre de quelques centimètres en moi. J’ouvre la bouche de surprise, mais aucun son ne sort. Tout devient clair en un instant. Si je descends sur sa tige, c’est sûr, je m’empale. Il me sourit, pose ses mains sur mes seins et ne bouge pas. Il est beau.

Alors j’entame ma descente, mon émancipation, mon dépucelage. Je sens que cela résiste. Mais que fait la police lorsqu’elle doit perquisitionner un endroit fermé ? Attend-elle sagement qu’on lui ouvre ? Non, parfois, nécessité fait loi, elle défonce la porte. Alors cette porte, je vais me servir du bélier qui est en moi pour l’ouvrir. Je reprends très lentement ma descente. J’ai l’impression que cela se déchire, je grimace un peu, mais poursuis mon action. Le pieu rigide de mon oncle ne me lâche pas dans cette tâche, il reste dur et force le passage pour moi. Mes fesses touchent à présent son bassin. Je ne sais pas combien de temps a duré ma descente, mais je ne bouge plus. Je récupère. Il me caresse le corps, les seins, le dos, les épaules. Je me penche vers l’avant et je l’embrasse. Je me relève un peu, libère le pieu qui peut repartir en arrière puis…je ré-avance lentement. La douleur s’estompe et je découvre une nouvelle sensation bien ...

... agréable. J’accélère le mouvement en embrassant l’homme qui m’accompagne.

Je transpire, j’en veux plus… mais j’ai chaud. Il le voit. Il me souffle dessus et me demande de bouger. Je bascule à regret sur le côté. Il se met sur moi et me regarde dans les yeux :

— On change ?
— Si tu veux.
— Tu vas voir, c’est plus facile généralement pour les filles de contrôler leurs sensations dans cette position. Pense à hier soir…

Il me caresse les cheveux avec tendresse.

— Hier soir ?
— Oui, rappelle-toi ce que tu faisais avec tes jambes…
— Ah, tu veux dire ça ! dis-je en écartant mes cuisses lentement dans un sourire
— Oui, ça ! me répondit-il en creusant ses reins.
— Aaaaah oui… Je la sens entrer en moi.
— C’est ça que j’avais envie de te faire hier soir. Contracte-toi comme pour m’empêcher de te pénétrer !
— Mais si j’ai envie que tu me pénètres ?
— Contracte-toi quand même et alors tu subiras mon viol.
— Ah bon, tu crois cela ! lui dis-je par défi en tentant de lui écraser la verge par une contraction vaginale que je voulais terrible
— Oui comme cela, c’est très bien ! dit-il en s’enfonçant davantage tout en usant de la largeur de sa verge pour m’écarter les chairs.

Soudain il stoppe ses mouvements et me demande inquiet

— Est-ce que tu prends la pilule ?
— Oui, à cause de la fin de mon acné… dis-je en faisant la moue…
— Parfait alors !

Et le délicieux vilebrequin se remit en marche. Comment vous dire, c’était tellement bon que j’en ai encore presque ...