Nous roulions l'un sur l'autre comme amant et maîtresse... (1)
Datte: 05/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: doumeg170, Source: Xstory
... soir-là, maquillée avec une distinction et un charme qui, je l’avoue, me troublèrent un instant. De plus, elle avait mis une robe verte assez largement décolletée découvrant avec précision la naissance de sa poitrine ferme et rebondie. Sa robe découvrait de la même manière son dos sur lequel s’ébattaient ses beaux cheveux blonds.
Elle me regarda en souriant et me dit simplement ces mots :
— Je suis prête.
Je balbutiais quelque chose en guise de réponse et nous sortîmes immédiatement.
Dans la voiture, Sylvie s’amusa de ma surprise.
— Ne t’avais-je pas dit, dit-elle, qu’il fallait que ce soir nous fassions la fête ?
— Et bien soit ! répondis-je sans trop savoir à quoi je m’exposais...
Au restaurant, nous oubliâmes toute retenue. Nous arrosâmes notre repas assez copieusement. Le bon vin succédait au bon vin et au dessert, nous commandâmes une bouteille de champagne. L’euphorie nous gagnait et la flamme de la chandelle qui éclairait notre table créait entre nous une étrange complicité. Plus la soirée avançait, et plus mon regard avait du mal à se détacher de la poitrine de Sylvie qu’un souffle léger animait. J’avais l’impression que ma vue se brouillait et que mes mains incontrôlées se mettaient à caresser les deux seins que ma fille semblait m’offrir...
Je me souviens qu’entre deux coupes de champagne, Sylvie me dit plein de choses agréables comme, par exemple, qu’elle me trouvait très séduisant et que beaucoup de femmes devaient me désirer...
Je ne ...
... sais ce qui me poussa alors à lui poser à brûle-pourpoint cette question :
— Et toi ?
— Moi, dit-elle, c’est autre chose...
Puis elle me fixa longuement et nous changeâmes de conversation.
Nous nous sentions tellement bien dans la chaude intimité qui enveloppait notre table que nous n’avions pas envie que la soirée se termine. Et c’est lorsque nous nous aperçûmes qu’il ne restait plus que nous, que nous nous décidâmes à rentrer.
Sur le chemin du retour, je sentis qu’elle posait sa main sur ma cuisse. Elle me dit :
— J’ai envie que nous dormions ensemble.
Je sentis mon visage devenir rouge. J’arrivais tout de même à murmurer :
— Si tu me donnes la permission de retirer moi-même ta robe...
Je craignais sur l’instant d’être allé un peu loin, mais elle répliqua d’une voix douce :
— Cela peut se faire...
Nous ne dîmes plus rien durant le reste du trajet, lorsque nous fûmes rentrés, je ne savais trop quelle contenance prendre... C’est elle qui me tendit la main en me disant simplement ceci :
— C’est moi qui t’invite dans ma chambre !
Je la suivis tel un somnambule. Je n’osais imaginer la suite... Sous sa robe légère, je fixais la cambrure de ses reins. Elle ferma la porte et se retourna pour me faire face.
— Comment me trouves-tu ? me demanda-t-elle.
Les mots s’étranglèrent dans ma bouche. Elle rit.
— Ne voulais-tu pas retirer ma robe ? reprit-elle.
Je m’approchais d’elle et l’embrassais dans le cou, oubliant que c’était ma fille. Je ...