1. Elle suce encore son pouce


    Datte: 05/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... ne vous raconte rien car il n’y a rien eu que de simple et normal dans cette affaire sur cette couette ce samedi soir d’août en Montpellier, métropole brûlante de canicule. Quatre mains, une minette trempée et un bitos bien raide. Le bonheur, quoi … la pleinitude.
    
    C’est au matin bleu du lendemain que la chose importante fut.
    
    Quand je m’éveillai, elle était inondée de lumière d’aube dans un rayon de soleil échappé aux volets entrebâillés, couchée endormie en chien de fusil. Elle était blonde le visage poupin, elle était belle. Sa peau était dorée.
    
    Et puis elle avait le pouce de la main droite à fond de gosier, charnu au menton, à l’inverse des bébés et elle suçait, suçait, suçait.
    
    Aspirant intensément.
    
    Elle dormait et pourtant son activité suceuse ne faiblissait pas de léthargie, d’endormissement, de son sommeil.
    
    Elle dormait en suçant. Ou alors, elle suçait en dormant.
    
    Je dirais même plus aurait dit l’un des Dupondt, peut-être même les deux l’eussent dit.
    
    Elle m’a bien plu, cette jolie fille endormie qui suçait son pouce dans la lumière chaude du soleil de matin d’été sur sa tignasse blonde.
    
    Elle m’a d’autant plus bien plu que nous avions tous deux vécu ensemble jolie aventure d’été. Rencontre mondaine dans les jardins brûlants de fin d’après-midi en ce château viticole des hauteurs de Béziers, discussions conviviales de séduction mutuelle, échappée sexy en auto par les routes de traverses, découverte sympa de sexe partagé dans la nuit torride ...
    ... et puis ce matin de dimanche ensoleillé ouverture à plongée en Mediterranée et déjeuner en paillote de bord de plage.
    
    Je n’ai pas du tout pensé qu’elle était gamine retombée aux premiers âges de l’enfance. Non, j’étais sincèrement ému des complexes d’ado attardée qui la faisait ainsi régresser. Et je pensais, peut-être peux-tu trouver, toi, nouveau copain, les leviers psychanalytiques qui la libèreront de cette addiction.
    
    Mais j’avais aussi une pensée un peu trouble … un peu lubrique, un peu floue, un peu louche. Une pensée de mauvais garçon.
    
    Je me disais, si cette fille aime tant sucer de bouche ardente de palais prégnant de lèvres charnues laborieuses de langue dansante quelque soit l’objet du délit, foure lui donc ta bite en bouche et profite !!!
    
    En fait, elle était là la bonne idée.
    
    Mais je n’ai pas osé profiter de son sommeil. J’ai juste pensé, ce dimanche soir, après jolie journée à la mer, tu la ramènes chez toi et tu la gardes mais tu planques l’oreiller.
    
    Tu lui diras, pose donc ta tête sur mon ventre qui est doux et tendre. Et endors toi.
    
    Avec un peu de chance, dans les vapes de son endormissement, elle ne prendra pas son pouce mais la bite que tu auras préparée là innocemment disponible pour toute éventualité.
    
    Te faudra faire effort pour que celle-ci reste en statut flacide et facile à engober.
    
    *
    
    A ce jour, la fille n’est pas du tout guérie de son addiction mais … franchement, je puis vous le dire, ici tout va vraiment très bien. 
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