Elle suce encore son pouce
Datte: 05/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
Elle suce encore son pouce
Jpj, Montpellier, juillet 2021
Quand j’ai ramené cette jolie blonde chez moi, j’étais juste dans l’idée de la sauter en conclusion sympa de cette soirée d’été cocktail tapas en plaine viticole biterroise. Chaleur d’août et robes légères des filles du cru. Les filles d’ici n’ont pas froid aux yeux. D’ailleurs elles n’ont froid non plus à aucune autre partie de leur corps. Chaleureux le dit corps. De partout. Toutes.
La blonde était gaie et roucoulait sur le siège de droite de mon automobile tandis que nous roulions à vive allure sur les routes étroites de campagne direction mon appart centre ville. Elle était balançée de droite de gauche et aimait ça.
Sa robe remontait et elle l’a coincée, prude, entre ses cuisses pour camoufler la blancheur de sa culotte.
Moi je pensais, petite tu ne perds rien pour attendre. Et je la voyais déjà toute nue dans mes bras allongée sur la couette. Dessus et non pas en dessous d’icelle vue la chaleur extrême de la soirée.
Mais il est vrai que ce geste élégant de discrétion m’a bien plu.
En sus il a eu pour effet de remonter la robe très haut, découvrant ses hauts de cuisse, indécemment.
Elle était bien faite. Assurément une fille sportive aux gambettes fines et dures. Je l’imaginais en athlétisme sur la cendre du stade ou aux barres parallèles en exercices gymniques.
Cette blonde était une fille bien sérieuse qui n’a pas posé sa main sur mon paquet, comme font tant de ces jeunes femmes ...
... d’aujourd’hui, malaxant outrageusement couilles tige et gland. En façon d’intimité. En intro aux coquineries qu’elles espèrent des garçons de rencontre.
Attitude très rock’n roll, mais qui, faut le reconnaître, gêne assez la conduite des automobiles. Pire que le smartphone au volant.
J’ai ainsi pu me concentrer sur le pilotage et nous sommes très vite arrivés à destination, à mon loft d’Ecusson.
On avait mangé à satiété de petites nourritures locales, huîtres de Bouzigues, petits pâtés de Pézenas, pointus mayonnaise, anchoïade de légumes variés camarguaise, tellines du Grau du Roy ou d’Espiguette. On était rassasiés.
On avait bu, modérément, toutes sortes de vins régionaux Picpoul de Pinet, rosé de Terrasses du Larzac, rouge riche épais de Daumas Gassac, muscat sec de Terres blanches léger mais fort goûteux.
On avait bu sans retenue du San Pellegrino lourdement chargé en bulles de CO2 et l’on se méfiait des conséquences plus tard lors des exercices amoureux.
Chez moi, on est directement passés tous nus à la douche, ensavonnés glissants sous le flux puissant un peu tiède presque froid, à se palper mutuellement avec tendresse et appétence.
La messe était dite, sex-friends assumés sans complexe aucun. En pays qu’on était, intimes avant même de se connaître, car issus du même terroir, biterrois.
Terroir de plaine, de vignes, sans mer ni montagne, terroir exacerbant la libido des filles comme celle des garçons dans la chaleur de l’été.
C’est ce qui a été et je ...