1. La bourgeoise et le marabout (69)


    Datte: 01/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... copains pour se positionner derrière moi. Il n’a évidemment aucun mal à glisser son gros dard et toute sa queue nervurée dans mon petit cul maintenant bien ouvert. Un des trois autres, celui qui m’a baisée en premier, je pense, semble avoir retrouvé toute sa vitalité. Il arrive à se glisser sous moi, s’allonge sur le dos et m’attire à lui pour que je m’empale sur sa bite.
    
    Enfilée sur l’un, enculée par l’autre, je gémis de plaisir et je les encourage de la voix même s’il est fort probable qu’ils ne comprennent rien à ce que je leur dis.
    
    — Oui, encore, baisez-moi fort !
    
    — Je suis votre petite pute, profitez en bien !
    
    — Remplissez-moi, faites de moi votre salope !
    
    Même sans savoir ce que je dis, mes mots doivent les encourager, car les deux autres se mettent à se branler contre moi tout en jouant avec mes seins de leur autre main. J’ondule de partout, mes seins sont bien durs, mes tétons pointent, mon clito est dressé et je gémis de plaisir. Ma chatte et mon cul en redemandent, tout mon corps réclame le bouquet final, la délivrance dans la luxure et la ...
    ... perversité.
    
    A l’unisson, les quatre hommes se déversent dans mes orifices et sur mon dos. Nous restons accouplés encore quelques instants pour bien profiter de leurs dernières gouttes de foutre. Lorsqu’ils se retirent, je m’affale sur le lit, épuisée par ces joutes érotiques, lessivée par ces étreintes débridées, mais comblée par tant de foutre répandu.
    
    Une fois les quatre hommes partis, mon marabout vient m’aider à me rhabiller. Il me félicite pour cette belle séance et me précise qu’il n’a maintenant aucun doute sur la bonne forme sexuelle de ses quatre vieux copains.
    
    Avant que je ne quitte son bureau, il me force à me mettre à genoux devant lui et se masturbe dans ma bouche. Une fois que j’ai son foutre gluant dans ma bouche, il me dit.
    
    — Il ne faudrait pas oublier de prendre une bonne dose de votre meilleur médicament.
    
    Alors qu’il va refermer la porte derrière moi, il ajoute.
    
    — J’espère vous revoir bientôt très chère Madame de Saint Jouy.
    
    En m’éloignant, je lui réponds.
    
    — Très certainement Monsieur Coulibadou. Vous devriez en parler à mon mari... 
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