La bourgeoise et le marabout (69)
Datte: 01/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Après ces cinq jours en compagnie de Philippe sur les routes de France et d’Italie, j’ai décidé de rester sage quelque temps pour me remettre de mes émotions. François continue à me lutiner certains soirs, mais je dois bien reconnaître qu’il est de moins en moins fougueux et endurant, donc pas très performant. Je reste souvent sur ma faim, je simule souvent de fous orgasmes pour satisfaire son égo, mais je dois régulièrement me « finir seule » lorsqu’il est endormi près de moi.
En ce mardi après-midi au travail, alors que je suis installée devant mon ordinateur à taper un compte-rendu d’audit RH, mon téléphone portable bipe, m’annonçant l’arrivée d’un SMS. Sur le petit écran, je lis « Très chère Hélène, je vous attends très bientôt à mon cabinet pour votre consultation annuelle. » Et c’est signé « Votre dévoué Monsieur Coulibadou ». Rien qu’à lire ce petit mot, je me remémore tous mes rendez-vous avec mon marabout et mon entrejambe devient moite et il me suffit de bien serrer mes cuisses pour avoir un fulgurant début d’orgasme. Aller le voir sans savoir ce qui m’attend, n’est-ce pas la meilleure solution pour remédier aux défaillances régulières de mon mari ? Je m’empresse donc de lui répondre que je passerai, si cela lui convient, vendredi vers 18h00 après mon travail. Sa réponse immédiate, « C’est parfait ! Soyez sexy ! », ne fait qu’attiser le feu qui couve dans mon bas-ventre.
Il est 16h15 lorsque je quitte mon bureau. Quelques secondes plus tard, masque sur le ...
... visage, je saute dans un métro de la ligne 3 puis, station Villiers, me voici filant vers Nation par la ligne 2. Parvenue à la station Pigalle, je descends du métro et sors de la station. Dehors, le temps est maussade et le trottoir jonché de feuilles mortes. L’automne est bien là et on peut ranger les petites robes d’été. J’ai d’ailleurs mis un léger trench-coat par-dessus mon tailleur pour me protéger du fin crachin.
Tout en me dirigeant vers mon rendez-vous, je regarde avec attention tous ces lieux chauds de Pigalle qui doivent certainement souffrir de la pandémie de Covid-19. Sexe-shops, boutiques de lingerie, saunas, ciné X et autres clubs libertins doivent certainement connaître une baisse de fréquentation. Pas facile de respecter les gestes barrière dans de tels endroits ! Mais ce n’est pas dit que je n’y retournerai pas bientôt en faisant très attention.
Me voici enfin devant l’immeuble où est installé le cabinet de Monsieur Coulibadou. Je monte à pied les deux étages, histoire de faire un peu d’exercice pour maintenir le galbe de mes mollets et la fermeté de mes fesses, et je pénètre dans la salle d’attente du cabinet. Je suis un peu surprise, car je suis à l’heure pour mon rendez-vous, mais il y a déjà quatre hommes assis dans la pièce. Aurait-il pris du retard ? Je retire mon trench-coat et l’accroche au portemanteau puis, une fois assise, je sors le dernier numéro de « Femme actuelle » que j’ai dans mon sac à main et me mets à lire. Du coin de l’œil, je vois que ...