Chienne un jour, chienne toujours (5)
Datte: 30/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... sursaute près de moi. Un baiser, nous voilà sous la douche. Un peignoir, je sors Fifille afin qu’elle se soulage derrière la boutique. Devant moi, me fixant de ses beaux yeux verts, elle se vide de partout. Frottant son cul dans l’herbe, d’un sachet, je ramasse ses excréments. Une fois dans la poubelle, nous remontons. Je l’envoie se doucher pendant que j’habille Amélie d’une de ses créations de lycra. Un sourire enjoué me fait miroiter une combinaison tout aussi exquise. Grand dieu, cette combinaison montre les trois quarts de mon corps. Mes cuisses, mon ventre, mon dos, même l’espace entre mes seins. À ma taille, elle fixe une jupette de latex hyper-courte. À mes pieds, elle m’enfile des boots pour la terre, il parait que le chenil de Madame Justine est de terre battue. Donc s’il venait à pleuvoir, cela se transforme en boue chez Madame Justine.
Pour ma chienne, ma belle petite chienne, nous lui trouvons une tenue plus passe-partout, question météo. Une tenue faite sur mesure et à même son corps. De nos mains, nous étalons du latex liquide sur tout son corps, même ses mains et ses pieds. Toute de noire vêtue, une simple paire de petites sandales à ses pieds, sa cape et la voilà prête à suivre son cours de dressage. Enfin, si je lui pose son collier. Dans la rue, nous n’attendons plus que Gilberte et Roxanne. Une fois notre groupe au complet, la petite troupe se met en route dans des rues malheureusement désertes ou presque. Cependant, nous avons oublié un petit détail ...
... avec Fifille et Roxanne. Oh, pas grand-chose, presque rien, juste le petit orifice pour uriner. Nous avions pensé aux queues fichées dans les culs, pas à leur vessie. Dans un recoin de la banlieue, un petit coup d’ongle et la voilà prête en cas d’urgence urinaire. C’est ma foi vrai, ce quartier de villa n’est pas pour les pauvres.
— Ma chérie, ce soir c’est ici que vous allez dormir.
— Quoi, c’est ça ta maison ?
— Aussi bien à moi qu’à Amélie. C’est celle de nos parents, ils ne sont plus de ce monde et nous l’avons un peu transformée pour que Roxanne puisse y jouir de sa petite liberté. Maintenant, là-bas, au bout de ce mur, droit en face, c’est chez Madame Justine et son chenil. Fifille, je dois te bander les yeux, comme à Roxanne.
Les chiennes, les yeux soigneusement bandés, nous continuons à avancer vers ce lieu hautement sulfureux de par sa réputation. Devant l’imposant portail, je dois mettre sa muselière à ma Fifille. Il en va de même pour Roxanne. Amélie sonne, c’est un homme qui nous ouvre, le sexe emprisonné. La bouche muselée, il ne peut parler et donc ne peut que subir. C’est du moins ce que sa pancarte pendue à ses tétons informe. Une soubrette se précipite vers nous. Gilberte m’apprend que c’est une des chiennes soumises permanentes de Madame Justine et sa compagne. Elle nous invite à la suivre en ne cessant de s’incliner. Je découvre un autre univers fait de docilité, de beauté à l’état pur. Les chiennes présentes ne sont pas toutes jeunes et belles, ...