Chienne un jour, chienne toujours (5)
Datte: 30/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
— Oh la vache, tu es superbe ma chérie. Là, Fifille, tu as une Maîtresse digne de ce nom. Ce que ta sœur est magnifique ! Tourne un peu... non, je n’y crois pas, je peux voir tes belles petites fesses de vicieuse se dessiner merveilleusement dans la matière. Putain pourquoi je n’ai pas été la première à te connaître. Catwomen peut bien attendre un peu après tout.
— Parce que même en seconde place, tu as ta place dans mon cœur, mon bel amour.
— Ainsi Gilberte a raison, une fois encore. Tu es capable d’aimer plusieurs personnes du même amour.
— Ça, c’est à toi de le découvrir. Mais pour ta sœur et toi, tout comme pour ma Fifille ou Roxanne, oui, je vous aime. Je découvre avec vous, je découvre ce que personne d’autre ne m’avait montré.
— Ouais, tu es parfaite, ma chérie. Chiche que tu n’oses pas sortir ainsi vêtue.
— Si, je vais oser si tu fais de ma petite Fifille une belle dalmatienne. Et si tu l’exiges, ma divine Maîtresse, nous ferons scandale parmi la populace.
— Chiche ! Un resto pour la gagnante.
— Je choisis la table de Pierre et prépare-toi à payer une addition particulièrement salée, ma belle amante. Il n’est pas dit que ma sœur et moi nous serions dégonflés.
En moins d’une vingtaine de minutes, avec ma tendre et docile Martine, nous étions dans la rue, ma Fifille en laisse, nos yeux cachés par des loups de fine dentelle assortis. En prenant notre temps par de petits détours, nous sommes allées voir Gilberte, comme des grandes. Une Gilberte qui ...
... n’en crut pas ses yeux. Elle me tâte de partout, en fait de même avec ma sœur. Même pour me soulager, ma courte robe n’est pas une entrave. Ma sœur Martine en laisse, sa croupe garnie de sa belle grosse queue bien sanglée à sa taille, nous allumons le désir ou le dégout aux passants que nous croisons. Cela semble même allumer bien des feux chez certains couples. Si cela n’en allume pas, cela en ravive et plus d’un. Même si ma Fifille ne porte pas sa cape, nos tenues ne laissent personne indifférent. De retour, Amélie est au téléphone avec sa sœur. Devant la boutique, debout près de moi, ma sœur m’embrasse à pleine bouche.
Lui répondant goulûment, j’ouvre son entrecuisse entièrement devant deux femmes médusées. C’est plus fort que moi, je dois m’approcher de ces femmes.
— Est-ce que nous vous choquons ?
— Non, vous nous excitez plus qu’autre chose, oui. Vous êtes juste merveilleuses. Dites-moi seulement où trouver pareils atours ? Excitée la miss quand elle me pose la question !
— Regardez cette boutique, derrière vous ! Cela regorge de vêtements tous aussi sublimes les uns que les autres. Pas ma chérie ? (Je plonge mon regard dans celui d’Amélie ravie.)
— Oui mon amour. Mesdames, donnez-vous la peine. Mon beau démon, je vais cesser toute publicité dans les journaux, toutes les deux, vous êtes ma pub très particulière dès ce jour.
— Chiche que tu n’oses me mettre sur tes flyers avec Fifille.
— La table de Pierre ?
— Et comment !
— Vous avez bien dit ...