Chienne un jour, chienne toujours (5)
Datte: 30/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... Amélie.
Sans en entendre davantage, Mireille bascule sa compagne par-dessus un petit meuble et, lui remontant sa jupe, la fesse copieusement par-dessus la petite culotte blanche. À voir Marthe se mordre ses lèvres en fermant ses yeux, elle devait attendre cette fessée depuis bien trop longtemps. Elle devait même se désespérer que sa compagne ne se montre pas plus despotique. Amélie profite de cette superbe pause pour me donner une nouvelle tenue à essayer. Toujours de couleur rouge vif, la courte jupe plissée me plaît, surtout si je ne porte rien en dessous. Pour le haut, c’est une gamine émerveillée qui le décrit. C’est un top avec, sur les seins, des fermetures éclair qui forment deux belles boucles reliées par une lourde chainette en acier chromé. A l’intérieur de délicieux picots arrondis qui massent mes mamelles dès que je les presse. Je m’empresse, devant les deux femmes, de me changer avec l’aide vicieuse d’Amélie.
La jupe est superbe, ample dans sa tenue, elle descend à peine plus bas que la moitié de mes cuisses. Mais Amélie y joint un accessoire que je ne vois pas, mais que je sens agréablement. Sous ma jupe, sa langue lape mon sexe détrempé. Elle m’introduit un merveilleux vibromasseur qu’elle met en fonction sur le mode aléatoire. Dans mon rectum, toujours à la vue des deux clientes, elle m’introduit un olisbos énorme qui vibre, lui aussi. Un clic, un second clic et les voilà fixés sous ma jupe, à ma taille. Peu après, je jouis délicieusement. Devant les ...
... deux femmes, me redressant, je dépose de doux baisers aux coins de leurs lèvres.
— Vous avez, toutes deux, des rêves. Toi Marthe, te soumettre amoureusement à ton amour. Toi Mireille lui donner de l’amour tout en la soumettant amoureusement. Vous avez ici de quoi vivre votre rêve. Bordel de merde, vivez-les et à fond comme moi et ma sœur !
Je tombe sur une pile de cartons vides pour jouir encore. Ma sœur se montre moqueuse envers moi. Il n’en faut guère pour que, peu après, elle soit équipée comme moi, dans son vagin. Quant au couple, il semble se concerter en se caressant, s’embrassant sans plus aucune gêne. Dehors, les passants se sont dispersés. Sauf une femme qui vit sa main léchée par ma Fifille. Elle pénètre dans la boutique. Amélie s’empresse d’aller connaître ses désirs. Derrière, Mireille m’embrasse, Marthe embrasse ma Fifille. La chose est entendue à les entendre. Elles vont tout faire pour vivre pleinement leurs rêves, ces rêves qu’elles caressent depuis pas mal d’années à les écouter. Elles nous quittent avec la promesse ferme de revenir sous peu. Marthe se retourne pour ajouter qu’elle n’a plus envie d’attendre, même si cela doit entraîner son divorce. La messe est dite, amen ! À vous revoir, les amies.
— Marion, vous avez fait quoi, toutes les deux, dehors ?
— Rien, quoi, tu veux que nous recommencions ?
— Mais quoi ?
— Fifille, viens ma belle. Viens ma douce, on y retourne. Avec toi, la table de Pierre va se frotter les mains.
Les mains sur ...