1. Le masque d'Amazonie ou les fantasmes d'un nouveau gay. (2)


    Datte: 28/12/2022, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... aussi bien éclairée.
    
    Au milieu, quatre totems phalliques en bois noir, chacun de la taille d’un homme, étaient fièrement dressés.
    
    Deux très jeunes hommes étaient attachés chacun aux deux premiers. On me solidarisa de même avec le troisième.
    
    Les deux jeunes me regardèrent et échangèrent quelques propos incompréhensibles. Ils bandaient.
    
    Quelques instants après, un quatrième garçon entra, avec la même couronne de fleurs que nous. Il était destiné au quatrième gode géant. Comme les deux autres, il venait célébrer sa nuit de noces. Il entrait dans la communauté des adultes par cet ultime rite qu’avait précédé une longue initiation, plus longue que la mienne.
    
    Dès qu’il fut installé, il se mit à quatre pattes, tendant son cul bombé de façon lubrique, impatient de ce qui allait lui arriver.
    
    Je me tournai vers les autres qui étaient dans la même position. Alors je les imitai, décidant en tous points de calquer mon attitude sur la leur.
    
    Des hommes entrèrent et éteignirent quelques torches, augmentant évidemment la pénombre. Un brouhaha de quelques instants emplit l’espace, le temps qu’entrent les hommes déjà mariés. La case fut bientôt pleine. On m’entourait de toute part. Un type se plaça derrière moi, plaqua sa bite contre ma raie, et se pencha sur moi.
    
    — C’est moi mon amour. Je vais te défoncer la chatte.
    
    — Oh oui, vas-y, encule-moi, encule-moi.
    
    Je prononçai ces mots avec une sincérité dont je ne me serais jamais cru capable avant. J’étais encore ...
    ... surpris de cette subite métamorphose qui avait fait de moi en quelques heures un adepte de la queue, un bouffeur de pénis, un accro du phallus.
    
    Mais, malgré mon attente, ce fut beaucoup plus douloureux que la veille. Même bien lubrifiée, la bite avait du mal à rentrer.
    
    — Tu as ton masque ? demandai-je?
    
    — Non pourquoi ?
    
    — Ta bite m’a l’air plus grosse qu’hier. Tu me déchires là !
    
    — Eh du con ! T’as pas ton masque non plus ! T’es dans le réel là. Donc tu peux pas ressentir mon fantasme. Si je choisissais de fantasmer, d’avoir un truc énorme, je le sentirais, mais pas toi. Il faut qu’on fasse le même fantasme pour le ressentir tous les deux. C’est mon sexe réel que tu sens là, ma vraie queue, mon vrai gros bâton... solide hein ?
    
    — Ah... OK... je savais pas. Tu peux y aller plus doucement, s’te plaît ?
    
    — Pourtant c’est pas la taille de ce que tu as eu dans le cul jusqu’à maintenant. Mais c’est vrai que là, tu es dans ton état normal. Tu as intérêt à te détendre... ils veulent tous te passer dessus.
    
    — Tous ? Mais combien sont-ils ?
    
    — J’sais pas... mais un blanc roux, c’est exotique.
    
    — Aïe ! Tu me fais mal Juanito.
    
    — Mais elle a mal à sa petite chatte ma petite pute... tu vas voir..... Trikanboua... viens, t’es où ? Putain quel bordel... on voit personne... Trikanboua ? Trikanboua ? Ah il est là-bas. Alé, va le chercher. Avec tout ce monde, il ne m’entend pas !
    
    — C’est qui ? demandai-je.
    
    — La plus grosse bite du village... L’ Obélix du sexe. Tombé ...