1. Douce descente aux enfers (1)


    Datte: 27/12/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory

    ... retirer mon string. Je l’aide en me soulevant légèrement.
    
    — Arrête, mon mari...
    
    Sa main s’écrase sur mes fesses.
    
    — Brute, arrête.
    
    — Tais-toi, je n’entends pas s’il est encore au téléphone.
    
    Rassuré, il reprend son massage. Il entreprend d’une manière douce mes fesses. Il en joue, les écarte, les presse. Incapable de résister, je me prête à ses caresses. Quand il caresse d’un doigt curieux ma raie, je me mords l’avant-bras pour étouffer un gémissement. Il entame un diabolique ballet entre ma rondelle et l’entrée de ma grotte. J’ondule, feule, me soulève, me prête à sa caresse.
    
    Je sens le plaisir monter en moi, quand il force d’un doigt ma rondelle et d’un autre ma grotte humide. Une vague de plaisir me submerge après quelques minutes de cette double branlette.
    
    Il me faut de longues minutes pour reprendre mes esprits. En ouvrant les yeux, je le vois debout à côté de mon transat. La pensée : Il est bien monté l’animal me vient à l’esprit en voyant la bosse déformant son short de bain. Sans un mot, je m’assois sur le bord du transat. À travers le tissu, je masse son désir. Doucement, je descends son short. Je ne peux retenir un cri de surprise en découvrant son sexe.
    
    — Oh ! Mais... mais tu es énorme.
    
    Mes doigts forment un anneau autour de sa hampe, je ne peux à peine joindre mes doigts, j’entreprends une douce et lente branlette. J’approche mon visage de cette matraque, mon souffle l’agace. Le bout de la langue remonte le long de ce gourdin. Ouvrant mes ...
    ... lèvres humides, je le prends en bouche. Il gémit et pose sa main dans mes cheveux. Je râle en prenant le plus profondément son sexe dans ma bouche. Je lui lance en levant les yeux un regard vicieux. Il a la tête rejetée en arrière, les yeux fermés. Lèvres serrées autour de son braquemart, je vais et viens. Le prenant de plus en plus profondément. Ses gémissements m’encouragent. Je me montre goulue, bruyante. Je le branle, le suce, presse délicatement ses couilles. Quand je me retire, je reprends bruyamment ma respiration, pour mieux l’engloutir. Il gémit de plus en plus fort, sa respiration s’accélère. J’enserre son gland de mes lèvres. En criant, il se libère dans ma bouche.
    
    De longs et puissants jets, je ne peux tout avaler, les commissures de mes lèvres laissent échapper le trop-plein. Je l’efface de bout de mes doigts, que je lèche en le regardant avec mon plus beau regard vicieux. Je remonte sans un mot son short.
    
    — Maintenant que tu as eu ce que tu voulais, j’espère que tu me laisseras tranquille.
    
    — Te laisser tranquille ? Tu plaisantes ? Il faudrait être dingue de laisser tranquille une salope comme toi. Je vais faire de toi ma pute, mon objet de plaisir.
    
    — Tu peux rêver jeune coq.
    
    — C’est tout vu. Il faut que j’aille au travail. Mais avant, je vais dire bonjour à ton mari. D’ailleurs, on ne l’entend plus.
    
    C’est vrai que l’on ne l’entend plus. Je remets de l’ordre dans ma tenue en enfilant mon string. En les entendant parler, je me dis que je me suis ...