1. Un rêve ou un cauchemar - Première partie


    Datte: 26/12/2022, Catégories: fh, cérébral, revede, Oral regrets, Auteur: Mr Smith, Source: Revebebe

    ... chose. Je n’en ai pas le courage. Peur d’être ridicule, incompris.
    
    Et ce soir encore, elle jouit, plusieurs fois, pendant plus d’une heure. Je l’imagine chevaucher son amant, un sexe énorme coulissant en elle, dégoulinant de plaisir. Ses hanches qui tanguent comme un bateau sur une mer déchaînée, les contractions de sa chatte sur la bite de son partenaire du moment, des flots de sperme et de mouille qui se mêlent dans un océan de luxure. Et ces cris, ah ces cris. Je jouis alors que je me rêve en elle et je m’endors seul.
    
    V – Et les autres
    
    Je marche derrière cette mère de famille et son gamin depuis près de cinq minutes. Ses belles fesses bien rondes se balancent, généreuses, dans ce jean pas très bien taillé. Je l’ai entendu lui dire qu’il passerait un très bon week-end chez son père.
    
    Elle passera sans doute cette fin de semaine seule chez elle, ou bien profitera-t-elle de cette brève liberté pour retrouver son amant, régulier ou pas. Je me rêve à l’aborder et à l’inviter boire un verre, invitation que nous prolongerions chez elle ou chez moi. Elle jouira sans retenue quand je la prendrai sur le plan de travail de sa cuisine. Elle me suppliera de ne pas arrêter quand je glisserai mes doigts au fond de son vagin, en ondulant le bassin pour que je la pénètre toujours plus loin.
    
    La petite caissière de la supérette dans laquelle j’achète les pâtes que je mangerai ce soir est délicieuse. Elle est toute jeune, si fraîche, ne doit pas peser plus de 45 kg. En faisant ...
    ... la queue à sa caisse je me vois la soulever, relever sa jupette découvrant qu’elle ne porte pas de culotte. Sa chatte est lisse et mouillée et j’y pénètre sans douceur. Elle acquiesce et me demande de la prendre fort, sans retenue. Elle aime les hommes comme moi. Ses petits seins se balancent alors que je la prends maintenant en levrette. Son petit trou me fait de l’œil et j’y glisse le majeur pendant que je la besogne de plus en plus fort.
    
    Ma vie est faite de ça. Des fantasmes au quotidien, jamais assouvis.
    
    Et ce jeune couple qui promène, se caressant mutuellement les fesses. Moi aussi je veux les palper, ces fesses.
    
    Et cette pervenche à l’air strict dans sa tenue bleue, qui rentrera bientôt chez elle retrouver son mari. Je veux la baiser tout de suite contre le capot d’une voiture et me vider en elle pour toutes les contraventions que j’ai reçues dans ma vie.
    
    Et cette belle femme bon chic bon genre, qui sort de cette boutique les bras remplis de nouveaux habits, je veux la prendre et lui faire oublier ses bonnes manières, l’insulter pendant que je la sodomise et jouir avec elle en écoutant ses couinements.
    
    Ma vie est vide et j’ai les couilles pleines. Je suis fatigué, je ne trouve plus de sens à tout ça. Il est où le bonheur auquel j’ai droit ?
    
    Lundi, 8 h 20. Je dépose cinq euros sous la tasse de café que j’ai terminée depuis plus de vingt minutes. Comme d’habitude, je suis resté à observer de loin Élodie, la serveuse qui me fait rêver, et comme d’habitude, ...
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