La mère de ma petite amie.. (7)
Datte: 25/12/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... mérite, dis-le !
Je la regarde, rouge de tension, après son petit discours enflammé, nue, les seins gonflés et les lèvres frémissantes, le corps brûlant et je sombre à mon tour.
— Oui, tu mérites une punition, allonge-toi et ne discute plus.
Elle s’allonge sur le ventre, non sans que je lui aie donné un gros oreiller qu’elle place sous ses hanches, surélevant ainsi son adorable postérieur, véritable appel au sexe.
Je me place près d’elle et déclare d’une voix rauque (hé c’est que je n’ai jamais fait cela moi !)
— Une mère indigne mérite une fessée.
Je lui donne ensuite une claque sur la fesse en disant d’une voix forte UN.
Elle sursaute, mais conformément à ma demande, ne dit rien et encaisse les neuf claques suivantes qui laissent ses fesses gentiment rougies.
Elle me regarde, les yeux brillants, et je passe lentement la paume de ma main sur ses fesses, lui fais écarter les jambes avant de passer mes doigts sur son entrejambe que je trouve comme je l’imaginais, c’est-à-dire totalement ruisselante. Évidemment, j’en rajoute, ayant compris le jeu.
— Mais tu n’es même pas calmée, une mère que je dois presque repousser, qui mouille quand elle est punie, je suis sûr que ton esprit pervers n’a pas honte.
— Oh je suis horrible, je suis monstrueuse.
Tout en continuant à la caresser, je reprends:
— Tu voulais toucher Sarah, la faire jouir, avoue.
— Non, non.
Je fais aller et venir deux doigts dans sa chatte dégoulinante.
— Avoue,
— Non, ...
... non, mmmm.
— Dis-le.
— Oui, ouii, je voulais la toucher, elle est si belle, salaud, tu m’excites, elle m’excite, je me suis branlée comme une chienne toute la nuit.
— Attends, je vais te punir, moi, tourne-toi.
Je la pousse pour qu’elle se retrouve à genoux devant moi, mon sexe tendu devant sa bouche et lui dis en la regardant dans les yeux.
— Suce-moi, nettoie-moi de ta fille espèce de pervertie.
Elle sait bien que je n’ai aucune odeur sur moi, puisqu’elle a encore fait quelques longueurs de piscine avec moi il n’y a pas une heure, mais nous sommes tous deux pris dans un scénario pervers.
Elle engouffre (je ne peux pas dire autre chose) immédiatement, mon sexe gonflait et se met à me sucer comme possédée, j’ai l’impression d’être face à une succube tant elle m’aspire
En même temps, je la branle avec deux doigts et puis comme elle tend ses fesses vers moi, je lui effleure son œillet avec mes doigts, générant un sursaut de son postérieur.
Je me retire, la regarde, vivante, image du désir ; la bouche ouverte, les lèvres gonflées. Ma queue est luisante de salive, c’est tout juste si elle ne tente pas de happer mon sexe en passant.
— Mais rien ne te calme ma parole, cette fois, je vais te faire passer l’envie !
Je la pousse à peine qu’elle se met elle même à quatre pattes, reproduisant la position qu’avait Sarah le soir précédent. Impatiente, elle quémande d’une voix brûlante d’envie.
— Encule-moi, punis-moi comme elle.
— Suffit, écarte-toi ...