1. La mère de ma petite amie.. (7)


    Datte: 25/12/2022, Catégories: Hétéro Auteur: caribonex, Source: Xstory

    RÉSUMÉ. Sarah, ma petite amie, m’a finalement avoué avoir une relation avec Cécile, la mère d’une amie. Au petit matin, elle me fait cadeau de sa virginité anale. Mais moi, je ne lui ai pas tout dit, d’abord que Karine, sa mère, était collée contre moi pendant que je la faisais jouir, et surtout que moi aussi, je l’avais trompée...
    
    Sarah, épuisée par l’intensité de son premier orgasme et surtout de sa première sodomie, est repartie au pays des songes. Je suis allongée près d’elle, mais, malgré le pied énorme que j’ai pris, je suis bien incapable d’aller l’y rejoindre. Mes pensées s’agitent sous mon crâne, la mère, la fille, les deux, ce qui vient de se passer, ce qui peut... Ce qui va... Ce qui risque de se passer. J’avoue ne plus trop savoir où j’en suis et comme tout homme écartelé entre deux aventures, je me dis finalement que je verrais bien, c’est sans doute lâche, mais je ne suis qu’un homme.
    
    Et puis, finalement, je me sens moins coupable quand en fin de matinée, elle me demande si elle peut sortir voir Cécile. Je lui indique que je n’ai rien à lui interdire et que je ne veux que son bonheur et sa satisfaction. Elle m’embrasse, me serre fort en me disant des mots d’amour et part même plutôt détendue, je trouve.
    
    Je me fais l’effet d’être un peu hypocrite, surtout quand je croise ensuite le regard un peu enfiévré de Karine en revenant à la maison, après avoir fermé le portail derrière Sarah.
    
    Un seul regard et c’est presque une course vers sa chambre et son ...
    ... lit. Nous nous arrachons nos vêtements que je serais bien incapable de décrire, comme pris de fièvre, et nous embrassons à perdre haleine tout en laissant nos mains courir sur le corps de l’autre, touchant, caressant, palpant, dégustant...
    
    On reprend souffle et puis soudain, elle s’épanche, se lâche à moitié en pleurs:
    
    — Comme j’ai honte, comme j’ai honte, me faire jouir, collée contre toi pendant que tu la fais jouir, regarder ma fille se faire prendre et t’y encourager, comme c’est monstrueux, comme, comme...
    
    — Comme c’était intense et irrésistible aussi.
    
    — Oui, oui, je l’avoue, j’ai joui si fort de te voir, d’y participer presque, oh comme...
    
    — Comme tu en avais envie, dis-je en terminant sa phrase informulée.
    
    — Oui, oh salaud, quelques jours et tu sais déjà tout de moi, si faible, si...
    
    — Si faite pour l’amour, si faite pour le plaisir, si belle penchée sur moi à me mordre et à jouir.
    
    — Salaud, j’ai si honte et tu me le redis encore.
    
    — Tu n’as pas à avoir honte, elle est très belle, tout comme toi, qui aurait pu résister à la voir, à la sentir presque, à ressentir son plaisir et le mien.
    
    — Mais c’est ma Sarah et comme si cela ne suffisait pas de te serrer, de te sentir la prendre, j’avais, j’avais enfin tu sais.
    
    — Oui, je sais que tu avais du désir, l’envie de la toucher.
    
    — Mon Dieu comme j’ai honte, je plonge dans la fange.
    
    — Non, tu plonges dans le plaisir, dans l’amour pur.
    
    — Non, je dois être punie, je le sais, dis-le que je le ...
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