Secours et Assistance
Datte: 25/12/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... Tu m'interdis? Alors que tu gémis de plaisir et tortillant ton cul sur mon bureau, salope !
Il s'énerve, sort sa queue d'un coup, je frémis. Je me calme, je reprends mon souffle, pendant ce temps il fait le tour du bureau, attrape ma tête à l'envers, la penche en arrière, et enfile sa queue dans ma bouche. Il force et me la rentre jusque dans la gorge. Il me maintient de toutes ses forces et baise ma bouche comme si c'était mon cul.
Il s 'amuse à me faire suffoquer. J'ai de la bave qui coule sur mon visage, je couine chaque fois que je respire. Il n'en a rien à foutre de ma souffrance. Il prend son pied en me voyant gesticuler. Impossible de résister, je ne peux pas me dégager. Il ralentit un peu pour que je respire, puis reprend sa baise buccale en m'insultant.
- Petite salope, ta gorge est un vrai bonheur, tout comme ta mère ! Je te baise la gueule et tu bandes, petite fiotte. Tu vas jouir bientôt, petite chienne, allez, crache ton jus ! Voilà, comme ça ...
J'ai un orgasme foudroyant, mon foutre jailli sur mon torse. Tout mon corps tremble de plaisir. Je ne sais pas si c'est la position de soumission, ses insultes, sur ma mère, sur moi, mais j'ai joui comme un malade.
Puis l'Abbé se retire de ma bouche. J'ouvre grand la bouche pour respirer et immédiatement, je reçois une énorme giclée dans ma bouche et sur le visage. Ce pervers arrose mon visage de son foutre qui forme un masque gluant. J'en ai de partout. Dans la bouche, dans les narines, dans les yeux, ...
... je suffoque mais il me maintient toujours avec une joie sadique. Il grogne comme un malade, j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter.
Au bout d'un moment, il me gifle avec sa bite, je tente de reprendre mes esprits, je suis encore sous le choc. Une fois calmé, il se reprend et me parle, comme pour s'excuser.
- Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas baisé, quand j'ai vu la petite salope que tu es, et en pensant à ta mère avec ses gros nichons, comme elle me fait bander chaque fois qu'elle vient se confesser, j'ai perdu la tête. Mais tu me comprends et tu me pardonnes, n'est-ce pas?
- Vous êtes un vrai pervers.
- Pas autant que toi mon chéri, regarde-toi, tu as gémi comme une femelle, et joui comme une petite fiotte.
- Non, ce n'est pas vrai. Vous m'avez violé. C'est un crime !
- Mais oui, bien sûr... Allez, rentre chez toi. Va raconter à ta maman ce que je t'ai fait subir. Et dis-lui bien que j'en ai autant à son service. Si elle veut se faire baiser, je suis son homme !
Je suis furieux, vexé, humilié, mais pas en situation de force. Je m'essuie le visage comme je peux, j'ai le visage dégueulasse, gluant de salive et de foutre mélangés. Je me rhabille en vitesse et fonce chez moi, prendre une douche. Je croise ma mère en sortant de la salle de bain. En la voyant, je ne peux m'empêcher de repenser à ce que m'a dit l'Abbé, et j'ai le cul qui se remet à palpiter.
Le reste de la semaine se passe, sans nouvelles de Sacha ni de l'Abbé. Je ne ...