1. Secours et Assistance


    Datte: 25/12/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... Sacha m'a vanté ton petit cul de gonzesse, ça m'a fait envie, je vais y goûter. Monte sur le bureau.
    
    J'enlève mon pantalon et mon boxer, je m'assois sur le bureau en bois, l'Abbé me pousse sur le dos, je me retrouve les pattes en l'air, la bite à moitié bandée, et le trou du cul qui palpite. Il admire le spectacle.
    
    - Ton petit cul me fait envie, je vais me régaler, ça fait un moment que je n'ai pas goûté une jeunesse comme toi !
    
    Il s'assoit à ma place, m'écarte les fesses et commence à me lécher le cul comme un chien affamé. Sa langue m'ouvre, m'aguiche, me fait bander. La sensation est sublime, j'accroche mes mains au bureau. Il secoue la tête, il est comme possédé, il écarte mon cul avec ses doigts et me sodomise avec sa langue. Je gémis comme une femelle, ma queue est dure comme une barre d'acier, c'est plus fort que moi, je le supplie de me baiser.
    
    - C'est un délice ton petit cul de fille, je comprends que Sacha n'ait pas pu résister, et tu bandes en plus, salope.
    
    Il relève mes bourses, et les presse avec ma queue dans sa main. Avec son autre main, il me fourre deux doigts dans le cul et commence ses va et vient. Je deviens dingue, je devrais me rebeller mais je ne peux pas, je laisse ce pervers jouer avec mon corps.
    
    - Tu sais Kevin, j'ai souvent pensé que tu étais une petite chienne comme ta mère. Cette bourgeoise hautaine, toujours à agiter ses gros nichons dans ses décolletés, je suis sûr que c'est une petite salope, comme toi.
    
    - Non, pas ma mère, ...
    ... c'est une sainte !
    
    - J'ai toujours voulu la baiser, cette truie, je vais te baiser en pensant à elle.
    
    Là, il se dresse, présente sa bite devant mon trou, et pousse d'un coup. Je hurle ma détresse. J'étais venu chercher du réconfort, de l'aide, un conseil, une épaule amie pour soulager ma peine. Je me retrouve couché sur le bureau, les pattes écartées, sodomisé par un vieux pervers qui profite de ma faiblesse.
    
    Il a posé mes mollets sur ses épaules, il me tient par les cuisses et commence à me défoncer le cul sans pitié. J'avais la rosette lubrifiée par sa langue, heureusement, mais le conduit anal me brûle et je couine d'une manière féminine.
    
    Ça l'excite encore plus, je vois son visage devenir très rouge, son regard cruel me fixe avec mépris. Ses coups de reins sont puissants, les chairs claquent, il secoue le bureau à chaque poussée. Je gueule comme un possédé, ma queue est dure comme de la pierre, je suis conquis par sa virilité possessive. Je voudrais rester discret, ne pas montrer mon plaisir, mais je prends mon pied quand je suis traité comme une salope, ma queue dressée et mes cris de volupté me trahissent.
    
    - T'aime ça, hein, salope? Tu couines comme une femelle en chaleur ! Comme ta mère, j'en suis sûr, elle doit gueuler comme toi quand elle se fait baiser ! J'adorerai la baiser sur ce bureau, l'enculer et la faire hurler.
    
    - Non. Pas ma mère !
    
    - Si. Pareil. Deux salopes, deux chiennes en chaleur.
    
    - Je vous interdis de dire du mal de ma mère.
    
    - ...
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