1. S'il vous plaît Maître (3)


    Datte: 23/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Thrùd, Source: Xstory

    ... resté à genoux. D’une main sur ma nuque et sans un mot, vous m’avez plaquée contre la table. Mon ventre et ma joue reposant sur sa surface froide alors que votre main chaude caressait les marques laissées par vos coups. Vous m’avez lié les poignets dans le dos et les chevilles aux pieds de la table. Et vous êtes revenu à la charge avec la cravache, sur mes fesses cette fois comme si vous vouliez vous assurer que je ne serais plus en mesure de m’asseoir correctement pendant quelques jours, que la seule position que je pourrais tenir serait d’être à genoux à vos pieds. Mais Maître, je n’ai pas besoin de ça. Je me placerai toujours volontairement à vos pieds.
    
    Une fois mes fesses bien rougies, vous m’aviez assise sur vos genoux, les pieds toujours liés à la table et les mains dans le dos. D’une main, vous avez saisi mon cou et de l’autre, vous m’avez caressé l’entrejambe alors que le jouet vibrait encore. Je me sentais mouiller de plus en plus et je ne pensais pas cela possible. Mon plaisir devenait incontrôlable alors que je me répandais sur votre pantalon. C’est alors que vous avez brisé ma dernière barrière. Je ne tenais plus et je me suis mise à vous supplier de me laisser jouir. Et c’est avec votre accord que j’ai exulté sur vous, sous votre contrôle et je sais que c’est la seule raison pour laquelle vous ne m’aviez pas bâillonné. Pour que je puisse vous supplier et que vous puissiez m’entendre. Et oh Maître, vous en avez bien profité. Vous m’avez laissé redescendre, ...
    ... toujours assise sur vos genoux avec vos doigts qui me caressaient lentement.
    
    Vous m’avez ensuite détaché les mains et vous m’avez aidée à me relever et à prendre appui sur la table. Vous avez détaché mes jambes, mais ma soumission était loin d’être finie. Vous ne m’avez libérée du salon que pour mieux m’entraver dans la chambre. J’ai obéi à votre injonction de me diriger vers le lit pour m’y allonger.
    
    Vous avez lié mes mains et mes pieds au montant du lit. Bloquant le moindre de mes mouvements. Cette fois, vous avez ajouté le mords et le bandeau. Vous avez glissé dans ma main un mousqueton de métal, seul moyen pour moi de vous stopper dans vos actions. En y repensant Maître, vous avez toujours été attentionné. A votre manière, loin des fleurs et de la guimauve, mais vous avez toujours veillé à ma sécurité et à mon bien-être. Alors que je me retrouvais nue sur le lit et complètement à votre merci, vous avez allumé des bougies pour les laisser fondre à mon côté. Votre bouche et vos mains se sont alors faites d’une douceur extrême. Effleurant, caressant la moindre parcelle de ma peau pour me rendre le plus sensible possible. Vous avez léché et sucé mes tétons dans le seul but que le moindre frôlement me fasse gémir.
    
    Oh Maître comme c’était délicieux, comme c’était agréable. Puis votre bouche s’est éloignée alors que votre main revenait maintenir mon cou pour plaquer ma tête dans le matelas. Et c’est là que votre vraie nature s’est révélée. Vous avez saisi l’une des bougies, ...