1. Dévergondage


    Datte: 23/12/2022, Catégories: f, h, hplusag, inconnu, telnet, cérébral, Masturbation fgode, exercice, totalsexe, Auteur: Mlle Fanchette, Source: Revebebe

    ... continuez, par pitié. Je me tortille déjà, cuisses serrées et mes doigts impatients…
    — Diablesse. Laissez-les courir sur votre ventre ondulant. Les miens sèment des décharges électriques le long des cuisses qui leur sont offertes. Là, à l’intérieur, sur la peau si fragile, si fine, si douce. Ma verge déjà gorgée se raidit de vous savoir abandonnée à l’excitation.
    — À vous lire, mes mains se sont échappées et ont trouvé la perle sacrée à travers l’étoffe. C’est si bon, vous n’allez pas m’en gourmander ?
    — Au contraire, abandonnez donc cette importune culotte qui ne fait que vous entraver. Faites glisser l’élastique le long de vos jambes tremblantes pour vous libérer. Sentez la caresse qu’elle vous fait en partant.
    — Je l’ai chassée trop vite, elle n’en a pas eu le temps. Entre les boucles brunes courent dix doigts avides et caressants.
    — Votre impatience m’excite et mon sexe érigé se tend vers vous avec un désir décuplé.
    — Je sens sa chaleur et sa dureté contre ma cuisse écartée.
    — Laissez-moi entrer. Je brûle, je me consume.
    — Non, pas encore, pas tout de suite. Je ne suis pas assez mouillée…
    — À petits coups de langue joueuse, comme j’aimerais vous embrasser là, sur ce bouton de rose que je sais déjà palpitant jusqu’à le voir pleurer de plaisir.
    — … Mes doigts le font rouler presque avec frénésie tandis que dans ma tête enflammée, je sens votre langue darder en moi.
    — Laissez-moi entrer. Plus que ma langue, c’est ma verge tendue qui me fait souffrir de désir et ...
    ... je n’ose faire plus que l’effleurer…
    — Votre message a vibré sur ma cuisse, j’en suis tout électrisée. Mes seins gonflés se frottent au dossier du canapé. Des milliers de décharges me sillonnent le ventre…
    — Je brûle, ma belle, je n’en puis plus. Le plaisir, je vous le donnerai.
    — Mes doigts ont trouvé la clé et oh…
    — Femme, où es-tu ?
    — Je jouis… pardon, mais que c’est bon ! Oh, mais entrez, entrez. Ma chair palpitante vous attend, vous appelle, vous réclame dans un gémissement.
    — Enfin… je te pénètre lentement et me sens bien dans ta chaleur sous le massage ardent de ton fourreau tendre.
    — Oui, oui, viens en moi, remonte vers la source de ce ruisseau qui t’abreuve.
    — Diable ! Ne pas exploser, pas encore. Mais je te sens si étroite, si refermée autour de moi. Tu m’aspires, tu m’appelles si fort. Je crains de perdre le contrôle et doucement, je me retire.
    — Oh, pitié ne t’en va pas.
    — Pour mieux revenir d’un coup de reins puissant.
    — Oh, mon maître, encore une fois !
    — Je te sens humide, ruisselante autour de moi. Tes seins se pressent contre mon torse.
    — Ils n’en peuvent plus de se tendre.
    — Je me recule et reviens toujours plus fort, plus loin. Les draps ne sont qu’un champ de bataille sur lequel je tremble de toi, essoufflé, brûlant.
    — Fesses serrées, cuisses offertes, bassin relevé, je tremble aussi, me perds dans ta cadence et…
    — Si chaud, si bon…
    — … une nouvelle vague menace de m’emporter…
    — Je me suis perdu dans un cri fauve. Oh, divine maîtresse, que ...