1. Dévergondage


    Datte: 23/12/2022, Catégories: f, h, hplusag, inconnu, telnet, cérébral, Masturbation fgode, exercice, totalsexe, Auteur: Mlle Fanchette, Source: Revebebe

    13 h 30(c’est Henry qui entame l’échange)
    
    — Mais quel âge avez-vous ? Je suis curieux.
    — Cela vous intrigue ? J’ai un peu plus d’un quart de siècle.
    — Je découvre donc que j’ai quelques dizaines d’années de plus que vous. Cela me donne envie de vous dévergonder !
    
    15 h
    
    — J’ai mis du temps à répondre, pardon. Mais votre message m’a fait peur. C’est une idée dangereuse…
    — Pardonnez-moi, je ne voulais pas vous effrayer. Avouez tout de même que c’est tentant, non ?
    — … et je suis curieuse. Tant pis si cela tua le chat ! Au Diable la peur, je ne suis plus une enfant depuis longtemps. Et après tout, deux écrans nous séparent et nous sommes voilés des fantasmes de l’anonymat. Tout ce qu’il y a à craindre, c’est un trouble partagé…
    — Alors qu’attendez-vous de moi ?
    — Que diriez-vous d’un jeu ? Dévergondez-moi du bout des doigts. Ce soir, 20 h. Le premier qui jouit a perdu.
    — Est-ce vraiment perdre ? Mais c’est d’accord, je me prête au jeu. À ce soir alors, j’en suis déjà tout excité !
    — À toute à l’heure…
    
    20 h
    
    — Êtes-vous là ?
    — Oui.
    — Où vous êtes-vous installée ?
    — Dans le salon, sur le canapé. J’ai fermé la porte et les volets. Je suis tout à vous en toute intimité. Et vous ?
    — Je vous attends, étendu nu sur mon lit, impatient depuis un moment déjà à vous rêver, à vous caresser… Que portez-vous, joli songe ?
    — Chemise longue et culotte simple
    — Pas de lingerie ? Tant mieux, j’aime la simplicité. De toute façon, il faudra enlever tout ce textile ...
    ... importun, mais attendez, pas tout de suite, prenons le temps de l’embrasement. Mes mains sur mon corps seront vous et je serai les vôtres. Allongez-vous doucement, laissez-vous aller entre les coussins. Sentez-vous déjà l’excitation troublante ?
    — Je vous sens déjà alors que désir et appréhension se mêlent au creux de mon ventre dans de doux palpitements. Avec animation, j’attends sans savoir quoi, frémissante en me mordant la lèvre.
    — Laissez-moi vous guider, ma belle coquine. Sentez cette main qui avec lenteur remonte comme une caresse le long du galbe de votre mollet, chatouille votre genou jusqu’à conquérir votre cuisse qu’elle masse doucement.
    — Et peu à peu je me détends, je fonds comme neige. La tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, le souffle déjà raccourci, je vous cherche du bout des doigts.
    — Pas tout de suite, nous avons tout le temps du monde… Laissez-vous faire, jeune effrontée. Sentez ces mains qui remontent jusqu’à vos fesses pour les effleurer, les toucher, les pétrir.
    — Mais elles ne s’y attardent pas. Voyez, elles soulèvent la chemise et caressent l’étoffe de la culotte.
    — Bien, doucement. Remontez encore sous la chemise, lentement vers vos seins que je devine déjà dressés, gonflés d’impatience. Sentez-vous leurs pointes dures ?
    — Elles roulent sous les doigts, mais la chemise… je l’ai ouverte, je n’en pouvais plus et ma bouche humide et enfiévrée a mordu l’épaule ainsi dénudée.
    — Oh, coquine ! Ai-je vraiment des leçons à vous donner ?
    — Oui, oui. Oh, ...
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