Mère et fille - Histoires de Sexe

Mère et fille

... dirai le mien ensuite.
— Soit. Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je ne veux pas mourir idiote, cela fait des années que j’attends de connaître d’autres queues. Je suis faite pour cela, c’est l’évidence qui m’est apparue la première fois que tu m’as pénétrée. Tu as fait de moi une farouche disciple du phallus. Tu resteras toujours mon Maître, mais j’entends des sirènes qui m’appellent. J’aggrave mon cas, il m’arrive même d’y penser pendant que tu me baises, et là, ça m’excite encore plus.
— Je te remercie pour ta franchise, elle corrobore ce dont je me doutais. Quant à moi…
— Ne te fatigue pas, je le connais : tu as envie de baiser maman.
— Hein ? Mais comment peux-tu dire ça ?
— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Je m’en étais amusé ces derniers temps. Tu sais, tu es un peu rustique. Et je vais t’étonner encore plus, maman en a envie autant que toi.
— Quoi ? Mais comment…
— Comment je l’ai appris ? Elle me l’a avoué ! Je lui avais fait part de ton attirance pour elle afin de la rassurer si jamais cela la choquait. Elle m’a répondu qu’elle avait relevé la chose et qu’elle en éprouvait autant pour toi. Elle m’a même dit que rien que d’y penser, cela lui mettait des papillons dans le bas-ventre. Mais elle veut que ce soit toi qui franchisses le pas.
— Je suis abasourdi ! Mais toi ? Comment réagis-tu ?
— Encore une fois, je vais te surprendre : en bonne fille qui veut le bonheur de sa maman, j’aimerais que tu la baises.
— T’es sérieuse ?
— Oh ...

... que oui ! Qu’une fois dans sa vie, elle sache ce qu’est un véritable plaisir sexuel.
— Une fois seulement ?
— Oh, soyons généreuse, pas qu’une fois, tant que tu voudras. Mais attention, cette générosité sous-entend la réciprocité. Tu as carte blanche, en contrepartie tu m’accordes carte blanche.
— Vu sous cet angle… soit, je suis d’accord. Il n’y a qu’une crainte que j’aurais, c’est que ça dérape dans notre couple, je tiens à toi.
— Non. Dans ma chatte et partout, je veux d’autres queues, mais dans ma vie je ne veux que toi. C’est avec toi que je veux vivre.
— Il y a encore un danger. Tu connais l’adage : « Le coup fait les cornes, le bruit fait le cocu ». Madeleine, j’exigerai une absolue discrétion.
— Ouh là, rassure-toi. Je n’ai pas du tout envie de me trimballer une réputation de fille facile. Plus éloigné sera le lieu le crime, mieux ce sera…
— Puis-je évoquer un autre élément ?
— Lequel ?
— La franchise. Autant que faire se peut, on se racontera nos frasques.
— Objection partielle, votre Honneur ! Si d’aventure je couchais avec l’un de tes copains, je me vois mal te le raconter.
— Évite-les si possible. Sinon de préférence mariés, ils seront eux aussi tenus à la discrétion.
— On marche comme ça ?
— Oui, on peut essayer.
— Pour maman, ne tarde pas trop, elle attend.
— Ta maman ? Dès que possible…

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Deux jours plus tard, Marie avait conduit comme d’habitude les enfants à la maternelle, mais au retour, surprise totale, elle alla prendre une ...