1. UNE ADORABLE PETITE CHATTE 4


    Datte: 21/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alain Dex, Source: Hds

    ... but de la manœuvre. L’horrible tête chercheuse sortit du doux sanctuaire, remonta de quelques centimètres pour se retrouver à l’entrée de l’imprenable citadelle. Non, ça ce n’était pas possible. Pas dans l’anus. Ce n’était pas fait pour ça. C’était interdit ! Ça devait faire horriblement mal.
    
    Lucille, stoïquement, ne cria pas. Pour préserver le repos de son mari et l’amitié sans faille de deux amis. C’était la pénétration de la tête, plus large, qui fit le plus mal. Après cela fut plus facile. Quelle sensation cette chose qui pénètre ainsi, lentement un sens interdit flagrant. Heureusement, le trivial coupable agissait précautionneusement. Pour l’encourager à continuer délicatement, Lucille se mit à gémir, comme prise d’extase. « Pas trop vite, pas trop vite… »
    
    Une fois de plus, la pauvre Lucille se rendait sans conditions à l’adversaire, lui laissant occuper la place conquise comme qu’il l’entendait.
    
    L’homme semblait l’avoir compris. Après s’être d’abord employé à lui caresser les seins, il se mit bientôt à lui en pincer les bouts. Et de plus en plus fort. Comme pour la faire crier de douleur. Mais elle résista.
    
    Alors il la fessa. Et il la fessa de plus en plus fort. Ses fesses devinrent toutes rouges. Elle faillit encore crier pour faire cesser cet infâme et indigne supplice Elle ne fit que gémir. Des gémissements équivoques. L’engin du ...
    ... supplice était toujours en place, dans l’anus écartelé de Lucille. Le mouvement de va-et-vient devint saccadé, plus rapide, plus profond. Cela parut d’abord une éternité à Lucille qui râlait avec de plus en plus de conviction. Puis, pour elle, le temps s’arrêta, tandis que le mouvement, lui, prenait à la fois de l’ampleur et de la vitesse. Une quatrième salve gicla, encore plus terrible que les précédentes pour Lucille. Cette fois, le nuage éclata, et en même temps pour les deux combattants qui s’écroulèrent et demeurèrent, dans cette position, l’une agenouillée en-dessous et l’autre agenouillé au-dessus, pendant une éternité, sans plus pouvoir bouger. Exténués ou ravis, ou les deux.
    
    Au matin, Marc et Lucille prenaient leur petit-déjeuner ensemble, à la cuisine.
    
    « Où est Claude ? » « Il dort encore. Je crois qu’il ne supporte pas bien l’alcool. Veux-tu que j’essaie de le réveiller ? »
    
    «Non, laisse-le dormir. Mais je ne vais pas pouvoir le reconduire. Comme on part tous les deux travailler, il n’a qu’à rester ici, tout seul, la matinée. On laissera un message sur son téléphone. Il est indépendant, ce n’est pas grave. Je le reconduirai cet après-midi, dès mon retour. »
    
    Lucille fronça les sourcils. Elle pensa que sa mère devait venir faire du rangement en fin de matinée. Il fallait lui envoyer un message. Si elle trouvait un homme tout nu sur le divan… 
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