1. Un arrêt synonyme d'amour (1)


    Datte: 20/12/2022, Catégories: Hétéro Auteur: GCG, Source: Xstory

    ... qu’elle avala presque sans broncher, seul un grognement rauque me parvint, me faisant comprendre que j’étais sur la bonne voie. De la mouille déborda de son entrejambe écarté au maximum, maculant le sol. Un bruit humide et galvanisant se faisait entendre chaque fois qu’elle accusait un de mes coups de butoir.
    
    Voir la vingtaine de centimètres apparaître et disparaître dans sa cavité rugueuse me rendait ivre de désir pour cette femme que j’adorais posséder. Mes coups se faisaient de plus en plus brutaux, secs et durs, mais à nouveau elle en voulait plus, et elle se mit à accompagner mes mouvements avec son bassin. Le clapotis accompagnant nos entrechoquements se faisait de plus en plus fort, et nous étions littéralement trempés de ce liquide vaginal qui s’échappait dorénavant en grande quantité.
    
    Elle ne retenait plus ses gémissements, nous étions proches de la fin. Mon sexe était gonflé à bloc, et ni elle ni moi ne pouvions, et ne voulions plus nous retenir.
    
    — Continue, surtout ne change rien ! Baise-moi encore, ne t’arrête pas !
    
    Je m’exécutais comme un bon petit soldat, la perforant de plus en plus vite. Je pris ses mains dans les miennes et me servis de cette position comme contrepoids pour mettre encore plus de force dans mes incursions. Ses jambes tremblaient, et ses cris étaient de plus en plus rapprochés. Un dernier râle, et je sentis ses muscles se tendre, ses doigts se crisper, tordant les miens involontairement, tandis que je continuais de lui faire ...
    ... l’amour en ralentissant la cadence. Il était temps pour moi aussi de me libérer.
    
    — Retire-toi mon cœur.
    
    — Viens en moi mon amour...
    
    Elle relâcha mes mains et prit appui sur la rampe pour tenter de conserver son équilibre le temps que je me finisse. Je n’allais pas me faire prier ! Je repartis de plus belle, et cette sensation de bien-être, typique d’un orgasme, me foudroya. Je ne fis quasi plus aucun mouvement, prenant plaisir à me déverser en elle, mon sexe agité de soubresauts saccadés et son vagin m’encerclant convulsivement. Incapable de tenir plus longtemps debout, nous nous effondrâmes à genoux, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Mots doux, caresses et bisous nous permirent d’être apaisés et relaxés après un moment aussi intense. Un rapide coup d’œil à ma montre m’indiquait que quarante-cinq minutes s’étaient déjà écoulées, par conséquent le réparateur n’allait certainement plus tarder.
    
    — Tu es vraiment belle tu sais, je t’aime.
    
    — Je sais, me dit-elle en affichant un air ingénu, et si tu es sage la soirée pourrait encore être bien sympa !
    
    Alors que j’allais répondre, l’ascensoriste me coupa, m’indiquant qu’il allait ouvrir les portes manuellement. Une dizaine de minutes plus tard nous pouvions sortir et rejoindre nos amis. Bien entendu, nous étions contraints de monter en prenant l’escalier de secours. Arrivés au dernier palier, elle se retourna vers moi.
    
    — Un avant-goût !
    
    Elle me fit un clin d’œil et souleva sa robe, me dévoilant son fessier nu. ...
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