1. Un arrêt synonyme d'amour (1)


    Datte: 20/12/2022, Catégories: Hétéro Auteur: GCG, Source: Xstory

    Il était 18h, un samedi soir. Ma femme et moi avions rendez-vous chez un ami pour fêter son anniversaire. Ces derniers temps, les moments où nous pouvions être ensemble, uniquement tous les deux, se faisaient rares, alors nous avions décidé de marquer le coup, et pour cela, de nous habiller plus chics qu’à l’accoutumée. C’est donc ravis d’avoir enfin l’occasion de nous retrouver que nous avions orienté le choix de nos vêtements, et clairement, nous voulions tous deux plaire à l’autre. Je me retrouvais donc affublé de mes chaussures de ville brunes, d’un pantalon classique beige surmonté d’une chemise bleu ciel, cachée par un veston de costume gris. Ma cravate anthracite était légèrement inconfortable, mais je savais qu’elle produisait toujours son petit effet.
    
    En voyant ma femme descendre les marches de l’escalier, je m’extasiais à nouveau devant sa beauté. Elle portait une robe kaki ample, lui arrivant légèrement au-dessus des genoux et soulignant, sans forcer le trait, ses formes rondes et hautement désirables.
    
    Rien n’était montré, mais tout était suggéré. Elle le savait, et allait en jouer toute la soirée avec moi, mais je n’étais bien évidemment pas contre... A ses pieds, une paire de sandales bariolées à semelles compensées qui lui allaient à ravir. Je me doutais que sous cette apparente simplicité devaient se cacher des sous-vêtements tout aussi classes et sexy. J’en avais déjà un aperçu avec la dentelle noire de son soutien-gorge que je pouvais entrevoir par ...
    ... moments, soutenant son 105E bien galbé. Même si son physique me rendait fou à chaque instant, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une grande fierté en la voyant marcher à mes côtés, ses yeux noisette, joueurs et remplis d’intelligence, ce visage fin, ses lèvres pulpeuses et son air presque arrogant lui conférant une aura distinguée. J’en étais amoureux, fou même, et cela pour toujours.
    
    Nous étions donc dans le hall d’immeuble de notre ami, attendant qu’il nous réponde afin de pouvoir entrer. Pendant ce temps je la complimentais sur sa beauté et sur le fait que sa tenue lui allait à ravir. Elle me rendit le compliment, en me disant que je n’étais pas trop mal non plus, avant de me sourire en pinçant les lèvres.
    
    L’interphone mit fin à notre discussion, et quelques secondes plus tard la porte émit un son strident, signe qu’elle était déverrouillée. Je lui ouvris la porte et la laissai passer devant tout en m’assurant que ma main effleure ses fesses le temps de son mouvement.
    
    Elle appuya sur le bouton d’appel de l’ascenseur.
    
    — Je pense que je vais te plaquer. Lui dis-je en sachant qu’elle comprendrait facilement cette blague que nous avions depuis quelques années maintenant, chaque fois que nous montions dans un ascenseur.
    
    Elle rigola de bon cœur et l’engin de levage s’arrêta. Les portes s’ouvrirent, et le temps que je rentre, elle me rattrapa pour passer sa langue chaude et douce dans mon cou. Je pressais le bouton indiquant un gros chiffre quatre de couleur orange, ...
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