John & Jane (6)
Datte: 19/12/2022,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... d’hier !
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Il me faut presque une heure pour me raser, me maquiller, me faire un brushing et m’habiller. J’hésite à mettre mes faux seins et opte pour un mini débardeur qui découvre le nombril et met en valeur mon torse. Enfin je mets bas, serre taille et string en voile pour couvrir la cage. Juste avant de descendre je me vaporise de « Terre d’Hector » le parfum de ma métamorphose et m’habille de la jupe et de la veste bleue, la blouse me semble superflue.
... Ding-dong ! La porte s’ouvre, Germaine apparaît derrière en kimono de soie rose, et un peu plus maquillée qu’avant :
— Bonsoir Jane, tu t’es faite attendre !
— C’est vrai, c’était un peu long, excusez-moi Germaine.
— Tss-tss ! On se tutoie ma chérie !
Germaine en fait est une vraie libertine. Elle me prend par la taille et me presse contre elle. Nos lèvres se collent, sa langue se fait insistante, glisse entre mes lèvres et m’envahit. Je réponds à son ardeur en la prenant par une fesse et un sein, ni l’un, ni l’autre n’accusent la maturité de la dame. Mon «attaque» l’incite à brûler les étapes en me troussant la jupe pour s’emparer de mes fesses nues. Notre baiser se poursuit avec intensité alors que ma langue l’a investie, elle me mord d’un coup sec … elle rit de ma témérité :
— Laisse moi te regarder... et déshabille-toi !
En croisant ses jambes pour s’asseoir, son kimono s’ouvre sur ses bas gris et le haut des cuisses nues. Debout face à elle, je tourne sur moi-même en ...
... ondulant des hanches, je n’ai que deux pièces à abandonner, la veste que je lance dans un coin et la jupe qu’une fois détachée je laisse tomber en corolle à mes pieds. Je m’offre en sous-vêtements blancs à son regard concupiscent avant de faire les quatre pas qui me séparent d’elle pour chevaucher ses jambes et porter à ses lèvres mon oiseau en cage :
— Ma chérie, quelle fragrance envoûtante… Donne-moi la clef que je libère l’animal.
Je l’ai en main et lui donne. Immédiatement elle s’affaire, l’oiseau en question est comme l’œuf dans sa coquille. A peine ouverte le sexe se déploie, les fers sont imprimés en profondeur dans mes chairs. Avec un peu de difficulté elle retire la cage de mon pubis.
Affamée, elle masse, suce et branle comme une professionnelle. Elle s’enfile la queue comme un avaleur de sabre, mon gland glisse au fond de la gorge «Argll...Gargle! » et provoque un débordement de salive qui tombe entre ses seins recouverts du kimono.
— Viens dans ma chambre !
Impatiente, elle abandonne son vêtement dans le couloir en me précédant jusqu’à son lit. Certainement sportive elle a les fesses bien fermes, les jambes effilées, sa démarche de mannequin donne un chaloupé au popotin à faire bander un homme de 80 ans.
En arrêt au seuil de sa chambre, j’observe la pouponnière rose avec au pied du lit, un grand miroir très surprenant dans cette bonbonnière. Arrivée au milieu de la pièce elle me fait face. Son corps a la beauté de Vénus, des seins superbes, juste ...