Coordinateurement Vôtre
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... décrète et moi, j’opine du chef, comme vous dites !
— Vous me plaisez encore plus ainsi ! sourit-il.
— Allez vous faire foutre !
— Pas sans vous ! Pas sans vous, assurément ! Votre réputation est faite ; vous êtes presque partout sur les murs de la capitale et dans les grandes villes, sans parler des écrans de télévision.
— J’aurais jamais dû me laisser embarquer dans cette galère ! Jamais ! Le pire dans l’histoire, c’est que vraiment tout le monde est persuadé que je suis justement votre maîtresse ! Alors qu’il n’y a rien de rien entre nous !
Maxime s’assied dans le fauteuil du coin. Il s’approche d’elle :
— Qu’est-ce qui vous déplaît réellement dans l’histoire ? Que vous n’ayez pas bien contrôlé ce qui vient de vous arriver, ma personne, votre avenir possible ?
— Mon avenir putatif !
— Beau jeu de mots ! Si je peux, j’essaierai de le caser un de ces jours !
— C’est ça, foutez-vous de moi ! Franchement, je ne suis pas une marchandise ! Bon, d’accord, j’ai fait quelques privautés pour maintenir mon compte en banque à flots, mais de là à…
— Ce n’était que des galipettes et du touche-pipi ; moi, je vous propose autre chose.
— Je sais : que je devienne votre maîtresse officielle, la seule et unique. Pourquoi pas le mariage pendant que vous y êtes ? persifle-t-elle.
— Je me suis déjà exprimé à ce sujet…
— Je sais ! Le pire, c’est que je suis d’accord avec vous ! Ah, mais pourquoi moi ? Pourquoi ça m’est tombé dessus ?
— Parce que je suis tombé amoureux de ...
... vous.
Surprise, Nadine reste suspendue quelques secondes. En soupirant, elle reprend :
— Vous parlez d’une circonstance ! Vous avez des mœurs bien bizarres, Monsieur le Coordinateur ! Au moins, vous n’êtes pas trompé sur la marchandise puisque vous avez déjà tout vu ce qu’il y avait à voir !
— Vous vous dévalorisez…
— Mais merde, il y a de quoi, non ? Je ne sais pas sur quel pied danser ! Vous m’embarquez comme un vulgaire souvenir du bureau de mon banquier, je m’attends au pire ensuite, et voilà que vous jouez les parfaits gentlemen depuis une bonne semaine et je me retrouve placardée partout, à la télé, sur les murs, les magazines, les papiers à en-tête et j’en passe ! Mais merde, foutez-vous à ma place !
— Vous dites des gros mots, Nadine !
— Oh, ces murs ont dû en voir bien d’autres…
— Sans doute… Par contre, parmi les femmes qu’ils ont pu voir, vous êtes allègrement dans le lot de tête.
— Vous êtes impossible !
Un léger silence, elle reprend :
— Oui, vous êtes impossible ! Je ne suis pas aussi belle que vous semblez l’affirmer, je sais très bien ce que je vaux. Je ne suis pas aveugle. Le pire dans l’histoire, c’est que… ah, et puis zut ! Laissez tomber !
— Vous en avez trop dit ou pas assez… Moi aussi, je ne suis pas aveugle. Voulez-vous que je complète ce que vous avez failli avouer ?
— J’ai rien à avouer ! lance-t-elle vivement.
— Dans ce cas, qu’avez-vous à perdre ou à craindre que je complète votre phrase ?
— Vous aimez avoir le dernier mot ? Et si je ...