Inanna
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
fhhh,
nympho,
hotel,
facial,
Oral
Partouze / Groupe
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... du lit, j’ai donc laissé le paquet que j’avais amené spécialement pour eux, pour les faire sortir de leur cachette : un lingot de 1000 grammes, d’une valeur de 50 000 dollars, qui leur appartenait. Avec ce lingot, un petit plan griffonné comme une carte de trésor de pirate avec un X indiquant la cabine de pêcheur que j’avais louée. Je suis parti, ai retraversé le bar, personne de connu.
J’ai attendu à la cabine. La nuit. Situé à l’extérieur, dans des fourrés. J’avais laissé une lumière tamisée dans la petite maison. Les moustiques étaient de sortie, mais je me contrôlais, m’essuyant les paumes sur mon pantalon pour que l’arme tenue à la main ne glisse pas en action. Des oiseaux de nuit, des chauves-souris. Moins de moustiques. La lune était belle. J’entendais les « Ooooh ! » hurlés par les groupes de jeunes femmes en fête. Un moustique près de mon oreille.
Puis, des silhouettes avançant dans le noir. Tranquillement. Furtivement. L’une d’entre elles prenait le côté de la cabine, la seconde l’autre côté et elles tentaient d’observer aux fenêtres. Mais il n’y avait personne. Deux mecs de MoonWar avaient répondu au piège du lingot. Il en manquait un.
Les deux hommes ont chuchoté entre eux, je n’ai rien entendu. Steve ou Mac est entré dans la cabine à pas furtifs, j’en ai profité pour me retrouver dans le dos de l’autre : je lui ai fait une clé aux carotides, il est tombé sans connaissance au bout de dix secondes. Peut-être lui ai-je cassé la nuque, j’ai entendu une sorte ...
... de craquement. Mais je n’avais pas le temps de plus me questionner, l’autre ressortait :
— Hé, Mac ! Il n’y a personne…
Mon flingue au silencieux le pointait, Steve a vu le canon cracher sa balle, il s’est effondré dans le sable. J’ai fouillé leurs poches, ai récupéré leurs clés, leurs téléphones et leurs portefeuilles, ai fait glisser les corps vers le bateau à moteur. La marée était descendante, j’ai détaché le bateau après y avoir caché Steve et Mac, j’ai les ai laissés dériver. J’ai joué du pied dans le sable pour enterrer les taches de sang qu’avait laissé Steve en tombant. J’ai pris une branche de palmier tombée pour balayer les traînées qu’avaient faites les corps jusqu’au bateau.
Ne me restait plus que le « patron » !
Suis retourné dans leur chambre, toujours rien, sinon la disparition du lingot. Le « patron » ne s’était pas envolé, ses bagages étaient toujours là. J’ai décidé de l’attendre là, dans sa chambre.
Mais il n’est pas venu. En plein milieu de la nuit, il avait tenté d’appeler Steve et Mac, sur leurs téléphones respectifs. J’ai laissé sonner, je n’ai pas répondu. Il jouait de prudence et n’avait qu’une seule mission : faire la peau à la chipie d’Arabe, à la Gorlèze. Quel mot étrange : gorlèze ! Où l’ai-je déjà entendu ? Dans quelle coulisse de ma mémoire ce mot se cache-t-il, déjà ?
Le soleil se levait, il semblait y avoir des coqs dans la ville, car ils créèrent une mélodie cacophonique en l’honneur de mon raté de ne pas avoir trouvé « le ...