1. La descente aux enfers de Marion (7)


    Datte: 18/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: mmuller, Source: Xstory

    Note : J’ai continué à écrire cette histoire à la première personne, je trouvais ça bien plus excitant, d’autant plus que le personnage principal est mon homonyme... Dites-moi ce que vous en pensez !
    
    Laurent venait de sortir de la pièce, en me laissant quelque peu abasourdie. Je retrouvais peu à peu mon souffle, toujours agenouillée sur mon simple lit au cadre métallique. Ma main gauche, appuyée au mur, me permettait de garder mon équilibre tandis que ma main droite tentait de recueillir le sperme de Laurent suintant lentement hors de mon petit trou meurtri. Je ne souffrais pas, mais ressentais toujours cette pression au plus profond de moi, comme si j’étais toujours pénétrée par le fantôme du sexe de Laurent. Mes abdominaux étaient comme contractés par une crampe, la même qu’après une séance de crunch intensive. J’étais comme paralysée dans cette position.
    
    Malgré le pilonnage puissant de Laurent, je n’avais pas joui. En temps normal, j’aurais pu continuer à me caresser, seule, mais je n’en avais plus la force. Je m’écroulai sur mon lit et fermai les yeux pour profiter au maximum des sensations qui parcouraient encore toute la zone entre mon ventre, mon entrejambe et mes reins.
    
    Laurent revint vers 19h30, pour m’apporter une soupe bien chaude. Il amena avec lui également des draps propres, ce qui n’était pas inutile, mes fesses gisant dans un mélange sueur, de mouille et de sperme. Il repartit ensuite en emmenant avec lui mon linge sale et en veillant à bien ...
    ... verrouiller la porte qui m’isolait du reste du monde.
    
    Le reste de la soirée fut calme, je bus ma soupe, pris un bon bain chaud et allai me coucher vers 21h30.
    
    Dimanche 21 octobre – 6h00
    
    Deuxième jour dans la cave
    
    Je fus réveillée aux aurores. Laurent venait d’entrer avec fracas dans la cave et avait allumé toutes les lumières.
    
    — Maintenant que tu es installée, nous allons pouvoir mesurer ta motivation dans ce projet, annonça-t-il. « Inutile de préciser que les résultats de ces quelques jours de tests vont être intenses et impacteront directement le déroulement de ton séjour ici. » ajouta-t-il.
    
    J’ouvrais péniblement les yeux, j’étais éblouie et distinguais péniblement la silhouette de Laurent qui se tenait debout dans la chambre.
    
    — Lève-toi ! m’ordonna-t-il.
    
    Je me redressais, encore engourdie par mon sommeil quand Laurent m’empoigna par le bras et m’extirpa en vitesse de mon lit.
    
    — Aie ! laissai-je échapper.
    
    — Je ne t’ai pas demandé de dire aie ! Es-tu venue ici pour te plaindre ?
    
    — Non... répondis-je doucement.
    
    — Très bien, alors viens par ici.
    
    Il me tira vers lui, puis m’enleva ce qui me servait de pyjama : une culotte en coton blanche ainsi qu’un t-shirt moulant (pas très glamour, j’avais l’impression d’être une matelote sur un porte-avion...). Je me retrouvais une fois de plus nue comme un vers devant Laurent. Je serrais mes bras croisés contre ma poitrine : j’étais fatiguée et avais un peu froid.
    
    Il me prit à nouveau par le bras et ...
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