1. De la vierge à la salope (suite) (2)


    Datte: 17/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... Il m’a vu sucer cette belle pine.
    
    Roger m’écarte les cuisses, il promène son gland sur ma moule, j’en frémis d’envie. Malgré la présence de mon homme, je ne peux résister.
    
    — Prends-moi, défonce-moi la chatte.
    
    Et sous les regards de mon époux, Roger s’enfonce inexorablement dans mon con. La bite progresse lentement dans ma vulve, Roger prend son temps, il veut me faire sentir toute la puissance de son mandrin. Mes chairs s’écartent. Je gémis de plaisir.
    
    Rosine a sorti la pine de Norbert. Le salop, voir sa femme se faire pénétrer le fait bander.
    
    Roger commence un lent va-et-vient. La jouissance monte, je coule comme une fontaine.
    
    Ma chatte est comblée par ce gros braquemart, Roger sort pratiquement son engin, puis l’enfonce d’un coup, provoquant à chaque fois un cri de jouissance.
    
    Soudain, l’orgasme m’emporte, je hurle mon bonheur. Roger ôte le plug, mon cul reste ouvert. Roger se retire malgré mes protestations. Il pose son gland sur ma rosette.
    
    — Non pitié, tu es trop gros, tu vas me déchirer.
    
    — Ne t’affole pas, tu es bien ouverte, tu vas adorer.
    
    Roger force, le gland passe m’arrachant un petit cri de douleur. Le mandrin tout entier suit. Je sens ses grosses couilles frapper sur ma chatte.
    
    Cette grosse bite dans mon cul, c’est fou, sous le ramonage de Roger, la douleur a disparu, remplacée par un plaisir comme je n’ai jamais connue.
    
    Sous les yeux de mon époux, je suis enculée et je manifeste bruyamment mon bonheur.
    
    Norbert n’en peut ...
    ... plus, il se cambre et lâche sa purée.
    
    Roger jouit à son tour, m’emplissant les entrailles de son foutre.
    
    Il décule. Je sens un grand vide. Mon cul est béant.
    
    Une tape sur les fesses :
    
    — Allez, vas-y, ils t’attendent tous.
    
    Mon retour dans la salle se fait sous une salve d’applaudissements. Ils savent tous que cela va être leur tour.
    
    David ne m’a pas encore baisé. C’est le premier à me saisir. Il me tourne face à la table, il pointe sa bite sur ma rosette, et me fait asseoir sur elle. Je sens son gland se frayer un passage, mon anus est resté béant, sa bite n’a aucun mal à progresser dans mes entrailles. J’ai encore une grosse bite tout en moi, je suis remplie, comblée. Je me rends compte que j’attends ce moment depuis longtemps.
    
    Ma vraie nature parle pour moi. Je ne suis qu’une salope, accro à la bite. J’ai honte de me conduire comme une pute, mais c’est qui me fait jouir.
    
    Je me rends compte soudain que Norbert me regarde, le regard exorbité. Il n’en revient toujours pas. Trop tard pour arrêter, je suis trop bien avec cette grosse bite dans le cul. Tant pis, il va découvrir que sa femme est une salope, une vraie pute.
    
    David fait coulisser son mandrin dans mes intestins, je jouis en permanence.
    
    La mouille dégouline de ma chatte. Une langue vient me lécher, buvant ma jouissance, s’emparant de mon clito, elle le pompe comme une bite, accentuant encore mon plaisir.
    
    Un mec grimpe sur la table, s’approchant de nous, il sort sa bite et me la présente. Je ...
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