De la vierge à la salope (suite) (2)
Datte: 17/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
Cela fait trois mois qu’Albert m’a baisée. J’essaye depuis d’éviter d’être seule avec lui. Au salon, malgré ses allusions, je reste de marbre.
Il essaye bien de me coincer dans les coins, mais je réussis à l’éviter. La saint Sylvestre arrive.
Malgré mes réticences, Albert a décidé Norbert à sortir avec sa bande de cousins. Tout le monde sera là, y compris Marie-France, la copine d’Albert, ce qui me rassure un peu.
Je suis dans la salle de bain. J’ai pris une douche, maintenant au-dessus du lavabo, je me lave les cheveux.
Je sens une présence derrière moi. Nue, penchée en avant, le cul cambré, cela a dû exciter Norbert. La tête toujours penchée en avant, j’écarte les jambes et j’accentue ma cambrure pour l’exciter un peu plus. Il se rapproche, me saisit aux hanches, son gland se présente à l’entrée de ma chatte, il me pénètre.
Et là... Ce n’est pas Norbert, il est beaucoup plus gros. Je tente de me dégager, mais je suis coincée contre le lavabo, j’appelle.
— Ne te fatigue pas salope, ton mari est parti faire une course, il nous rejoindra au restaurant.
C’est Albert. Comment est-il là? Pourquoi Norbert m’a-t-il laissée seule avec lui ?
Albert est bien calé au fond de ma chatte, il s’empare de mes seins, titille mes tétons. Il commence à me limer lentement. Ma chatte coule, je ne résiste plus, c’est trop bon. Je me rends compte que, malgré mes bonnes résolutions, cette belle queue me manque.
— Tu aimes ça, petite pute, tu faisais ta mijaurée, mais en ...
... réalité, tu n’attendais qu’une chose, que je te baise.
— Oui mon chéri, j’aime sentir ta queue me défoncer. Baise-moi, encule-moi, fais-moi ce que tu veux.
Oubliées mes bonnes résolutions, je ne pense qu’à cette belle queue qui me fait jouir. Albert m’entraîne vers la chambre, sur le lit conjugal. C’est plus confortable et plus excitant.
Il me fait mettre à quatre pattes, il replonge dans ma chatte qu’il lime quelques instants. Je me cambre autant que je peux, m’offrant complètement, soumise à son bon vouloir.
Il quitte ma chatte, je proteste, mais vite, son gland mafflu s’appuie sur ma rosette, il force l’entrée de la porte étroite, sa bite m’envahit complètement. Il se retire puis s’enfonce à nouveau, la jouissance monte, je hurle mon plaisir.
Soudain, Albert décule.
— Il ne faut pas que tes trous soient pleins de foutre, tu vas couler partout, je vais jouir dans ta bouche.
Docile, je saisis son mandrin et entreprends une fellation qui l’amène vite à la jouissance. Ensuite, Albert fait ce pour quoi il est venu, un peu plus peut-être.
Après avoir épilé ma chatte où les poils ont un peu repoussé, il m’impose un lavement, afin me dit-il, d’être propre partout, et prête à tout. Ensuite, il me coiffe, me maquille. Il s’attarde particulièrement sur mes tétons, mes lèvres (toutes mes lèvres...) avec une pâte rouge vif, à ma demande sur la nature de cette pâte, il reste mystérieux, disant seulement que je vais certainement beaucoup apprécier.
Il sort la ...