1. Séduction, amour et soumission (11)


    Datte: 16/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... donne-moi ton cul. »
    
    Elle se pencha, j’avais relevé les cuisses, elle m’ouvrit et je sentis cette bouche chaude, cette langue prendre possession de ce « lieu » encore vierge et inexploré il y a si peu ! A ses mouvements je sentis son envie, ma bouche se déplaça vers sa chatte.
    
    Était-ce notre séparation imminente ou bien comme moi, l’accumulation des expériences de ces derniers jours qui faisait que son envie était aussi insatiable que la mienne ? La grosseur comme la fermeté de son clito en était en tous cas le signe ; sous sa langue je partageais cette envie. Ses doigts prirent possession de mon vagin ; combien je ne sais pas, trois peut-être ?
    
    Elle avait cette voix rauque que je connaissais !
    
    « Tu coules beaucoup petite chienne !
    
    -Prends-moi plus fort, plus loin !
    
    J’étais frustrée de sentir que malgré ses efforts je restais encore serrée mais même si je désirais plus, le bruit de ses doigts, ce simple bruit me rendit folle ; ses doigts se déchainèrent comme ma langue. Je la sentis jouir comme moi tandis qu’impuissante et abandonnée, je ressentis un liquide chaud et abondant s’écouler entre mes cuisses. Sa bouche les parcourut comme ma chatte avant de venir se poser sur la mienne.
    
    -Tu as tellement coulé, tu le sens sur mes lèvres ?
    
    Gênée je ne pus que tenter de m’excuser.
    
    -Ne t’excuse-pas petite chienne. Ta maitresse aime ta mouille.
    
    Vers 11 heures, je la quittai avec un dernier long baiser et deux paires de pinces qu’elle m’avait confiées. ...
    ... Dans le taxi qui me ramena je lui envoyai un premier message :
    
    « J’ai volé la culotte que tu portais hier !
    
    -Tu as bien fait, pour toi, je ne l’avais pas portée qu’hier.
    
    -Tu es tellement vicieuse !
    
    -Comme toi ma chérie. Voyage bien.
    
    Le soir nous étions arrivés dans cette belle maison que mes parents louaient chaque année. Située sur une île encore sauvage où les voitures y étaient interdites, nous surplombions un petit port. Des bateaux blancs et bleus, de ce bleu grec étaient ancrés ; l’un d’eux était attaché à la maison. Il nous permettait presque chaque jour d’aller nous baigner dans une crique souvent déserte et d’y pique-niquer. C’était comme un rite, de ceux qui construisent la mémoire ; parmi ces rites figurait celui de cette bouteille de vin que le marin, dès que nous étions ancrés, attachait à un cordage avant de le plonger dans l’eau pour la faire rafraîchir. Ces bribes faisaient partie de ma vie et je les aimais.
    
    J’étais la plus jeune, mes deux frères vivaient à l’étranger. Eskandar l’aîné travaillait déjà dans la finance à New-York ; je le voyais peu ce qui me manquait ; j’étais heureuse qu’il puisse venir quelques jours avec nous cet été. Encore célibataire, Kandy, c’est ainsi que nous l’appelions, était très beau (j’admets que je ne suis pas objective !) et ses conquêtes féminines étaient nombreuses au désespoir de ma mère qui rêvait déjà de petits enfants. Firuz, mon autre frère, était de trois ans mon aîné. Étudiant à Milan cette année, nous ...
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