1. Séduction, amour et soumission (11)


    Datte: 16/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... groupe d’amis, plus âgé que moi avec lesquels je partageais parfois des soirées.
    
    Chaque soir je me livrai à mes exercices ; je parvenais à présent à garder les pinces sur ma chatte comme sur mes seins pendant longtemps. Je lisais avec, me brossai les dents avec, j’avais décidé de pousser mon endurance. Les deux paires que Marianne m’avait confiées étaient reliées par une courte chaînette. Après plusieurs jours et de l’imagination, je parvins à y accrocher des objets que je « tractais » en m’accroupissant et en me relevant ; le souvenir de mon échec à lui obéir me donnait du courage. Lorsque je regardai mes lèvres et mes tétons étirés, je pensai à ses doigts, à sa bouche qui viendraient me faire souffrir ou me caresser. J’étais aussi fière de pouvoir maintenant introduire quatre doigts dans mon vagin ; d’ici la fin de l’été, j’arriverai à mes fins et à la rentrée elle pourra me posséder de toute sa main.
    
    Une après-midi, c’était la veille de l’arrivée de Charlotte, je décidai de monter jusqu’au petit monastère qui se tenait sur une colline pas très loin de notre maison ; plutôt que de prendre le chemin je choisis de traverser, en ligne droite, à travers cette sorte de garrigue, sèche et odorante qui est propre à la Grèce. Ma robe s’accrocha à un moment dans un buisson, je la détachai au prix de piqures de ces feuilles épineuses. Me revint la « séance ». Cette « séance » qui occupait bien sûr mon imagination mais aussi, même si j’y résistais, mes désirs. Sans me ...
    ... blesser, je cassai quelques branches que je plaçai dans mon sac de toile.
    
    Cet acte presqu’anodin, m’occupa l’esprit le reste de la journée, je n’avais qu’une hâte, me retrouver dans l’intimité de ma chambre. Cette nuit-là, allongée, pinces et branchages cachés sous les draps, je faisais défiler dans ma tête les images de la « séance », celles de « l’esclave Karen ». Sans imaginer d’être à sa place, chaque scène, chaque punition que je revoyais n’avaient qu’un effet, m’exciter. Je posai les deux paires de pinces sur mes lèvres, les étirai l’esprit fixé sur une séquence, celle des orties. Je pris un branchage pour le glisser sous l’arche formé par les chaînettes. Le premier contact des épines était aigu, je le remplaçais par un frottement de haut en bas. Ma chatte était très ouverte, c’était trop douloureux pour aujourd’hui ; je retirai les pinces. Ma fente refermée, je repris mon exercice. Là encore passé la première piqure, le frottement sur mes lèvres se transforma, à mon rythme, en plaisir. J’attendis de l’avoir fait suffisamment longtemps pour que ma chatte soit rougie. Torche allumée, vidéo en marche, je filmai le mouvement des épines sur mes lèvres irritées que j’envoyai à Marianne. Je n’attendis pas sa réponse pour me branler, ce soir là mon pouce lui aussi me pénétra. Ce n’est qu’une heure plus tard que je reçus une réponse.
    
    « Désolée, j’étais à une soirée. Tu vas bien ma Leyla ou devrais-je t’appeler Karen ? MDR
    
    -Bonsoir ma chérie, oui je vais bien, très ...
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