1. Idylle au sixième étage


    Datte: 15/12/2022, Catégories: ff, ffh, fffh, inconnu, voisins, enceinte, grossexe, grosseins, poilu(e)s, ascenseur, train, toilettes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral 69, préservati, pénétratio, uro, init, Humour couplea3, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... 38-40 ans. Elle était assez voluptueuse, elle aussi, bien que beaucoup moins, au niveau des fesses, par contre, elle avait une poitrine absolument énorme, qui descendait très bas et qui ballottait beaucoup. Elle non plus ne portait visiblement pas de soutien-gorge.
    
    Elle a juste eu le temps de me dire qu’elle était contente de me connaître et que Mathilde lui avait beaucoup parlé de moi… avant que je ne me mette à bander comme un cheval en devinant ses gros seins non tenus sous sa robe.
    
    La situation était désespérée, j’allais percer mon jean devant elle alors que je venais de la rencontrer.
    
    Mathilde m’a sauvé en attrapant sa copine par le bras et en montant l’escalier précipitamment. Je les ai laissées prendre de l’avance avant de monter l’escalier à mon tour.
    
    Quelques jours plus tard, c’est Carole toute seule que j’ai croisée dans le hall. Bizarrement, elle me vouvoyait toujours…
    
    — Ah, bonjour, vous allez bien ?
    — Très bien et… vous ?
    — Super ! Au fait je suis désolée pour la dernière fois, Mathilde m’a expliqué votre problème…(elle a baissé les yeux vers mon pantalon) et je voulais vous dire que moi, euh… ça ne me dérange pas du tout, bien au contraire…(elle a levé les yeux au ciel d’un air émerveillé)… je trouve ça plutôt sympa !
    
    Plutôt sympa ! Ça se voyait que ce n’était pas elle qui avait passé toutes ces années à se cacher des filles ! Encore qu’elle avait peut-être passé des années à essayer de cacher ses seins !
    
    — Eh bien, euh…merci.
    — Ah… tiens ...
    ... ! Je vois que j’ai touché un point sensible
    
    Elle avait baissé les yeux sur mon pantalon à nouveau où une bosse énorme s’était formée sans que je puisse rien y faire. Je ne sais pas si c’était le fait qu’elle me vouvoie ou simplement son petit air de bourgeoise « prout-prout », mais j’avais carrément envie d’elle.
    
    Elle a ajouté en partant :
    
    — N’hésitez pas à passer ce soir ! On se fera un petit café à trois !
    
    Je ne savais pas comment je devais interpréter cette dernière phrase… café à trois ? Plan à trois ? Comment deux lesbiennes pourrait-elle avoir envie d’un mec dans leur pieu ? Qui sait ? À notre époque, tout devient possible…
    
    Le soir je n’y suis pas allé. Je n’ai pas osé… et puis sur quel prétexte ? Il me fallait toujours un prétexte pour faire les choses.
    
    C’est vers 22 h que j’ai entendu le petit « clac-clac » du verrou qui se trouvait de leur côté.
    
    J’étais terrorisé ! L’avaient-elles ouvert ? Ou l’avaient-elles fermé ? Impossible de le savoir sans déverrouiller moi-même et tenter d’ouvrir la porte… et me couvrir de ridicule si elles n’avaient pas ouvert de leur côté. Comment faire ? Pourquoi n’avais-je pas vérifié d’abord que la porte était bien fermée ?
    
    Je suis resté prostré pendant plusieurs minutes. Puis je me suis rappelé l’histoire du café à trois. Et il y avait aussi le fait que contrairement aux autres soirs, où, à cette heure-là, elles étaient déjà en train de se bouffer et de gémir, là, je n’entendais rien.
    
    Alors que je me torturais, ...
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