Idylle au sixième étage - Histoires de Sexe

Idylle au sixième étage

... éclair et elle s’en aperçut.

— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? J’ai dit quelque chose de drôle ?
— Oui ! enfin non ! c’est juste que ça ne prend pas toujours autant de place !
— Ah bon ? Pourquoi ? c’est rétractable ? comme un canif ?(et elle a été prise de fou rire et moi aussi.)
— Mais tu veux dire que tu n’en as jamais vu du tout ?
— Ben, sauf sur internet quoi… et à la télé, mais jamais en vrai ! Je suis lesbienne à la base, moi. Mais disons que ce que j’ai vu hier soir ne ressemble en rien à ce que je connais ! C’était beaucoup plus gros !
— Hier soir, j’étais très excité ! C’est pour ça !
— Et qu’est-ce qui t’a excité comme ça ? Ce n’est pas moi quand même !

Et là, je lui ai raconté la montée dans l’escalier. Bien sûr, je n’ai pas donné tous les détails. Je ne lui ai pas dit par exemple qu’elle avait la chatte complètement à l’air.

— Désolé, je ne m’étais pas rendu compte que je te montrais mes fesses comme ça… Oh, la la, la honte ! Je suis vraiment désolée, j’espère que le spectacle était beau au moins !
— Ça c’est clair ! C’était magnifique !

Puis brutalement elle a dit d’un air surexcité :

— Montre-moi !
— Hein ?(je me suis à moitié étranglé.)
— Montre-moi, s’il te plaît ! J’en ai jamais vu en vrai, mais j’ai l’impression que la tienne est vraiment exceptionnelle.
— Quoi… là, maintenant ? tout de suite ?
— Oui ! oui ! oui ! maintenant ! tout de suite !
— C’est que… c’est un peu gênant !
— Mais je te rappelle que je suis lesbienne ! Donc tu ...

... ne risques rien ! Prends ça comme un service que je te demande !
— C’est plutôt de la curiosité !
— Euh… oui, en fait… j’avoue que c’est de la curiosité ! Et alors, c’est grave ?

J’ai donc enlevé le bas, pour ne pas la laisser dans l’ignorance. Le problème, c’est que je ne bandais décidément pas du tout. Lorsqu’elle a vu mon engin, elle m’a dit :

— Ah non, ce n’est pas ça que j’ai vu hier soir ! Il est tout petit !(la pauvre, elle n’y connaissait vraiment rien en proportion)… Tu crois que si je te montre mes fesses à nouveau, ça va faire comme hier ?
— Oui, c’est sûr !
— Mais si je me tourne, je ne la verrai pas grossir ! Et moi je voudrai la voir grossir ! Comment peut- on faire ?
— Je pense que si tu restes face à moi et que tu relèves ta jupe, ça va fonctionner aussi ! Même peut-être encore mieux !
— Ah tu crois ? OK, on essaye alors !

Nous nous sommes mis face à face et elle a relevé sa jupe très lentement. Au fur et à mesure que je voyais apparaître ses jambes, ma queue montait tout doucement.

Enfin, elle a découvert sa culotte et à nouveau j’ai eu une décharge électrique dans le cœur ! Au milieu de ses hanches et de ses cuisses majestueuses trônait une petite culotte blanche en coton, tenue sur les côtés par des petites ficelles et des petits nœuds. La pauvre petite culotte était complètement débordée par une forêt de broussaille noire qui débordait de plusieurs centimètres de tous les côtés. En bas du triangle, l’une des deux lèvres était complètement ...