Idylle au sixième étage
Datte: 15/12/2022,
Catégories:
ff,
ffh,
fffh,
inconnu,
voisins,
enceinte,
grossexe,
grosseins,
poilu(e)s,
ascenseur,
train,
toilettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
uro,
init,
Humour
couplea3,
Auteur: Antilope, Source: Revebebe
... tourna vers moi, en gardant un pied sur la marche en dessous d’elle et l’autre trois marches au-dessus.
— Ça va ? T’es pas fatigué ?
— Non, non ! Ça va je te remercie.
— Tu ne veux pas poser deux minutes, moi je suis morte !
— Non, je préfère ne pas poser sinon je n’arriverai pas à repartir !
— T’es bizarre, toi !
Évidemment je ne pouvais pas poser les packs de lait sans lui révéler mon monstrueux engin, alors je suis resté planté là, en les gardant dans la main bien devant moi.
Lorsqu’elle est repartie, elle s’est penchée, cette fois en me tournant le dos et j’ai juste eu le temps de fermer les yeux pour éviter d’avoir une vue panoramique sur ses fesses et sa culotte, et lorsque j’ai rouvert les yeux, j’ai vu que sa jupe s’était coincée entre ses deux grandes fesses molles tremblotantes, ce qui l’avait rendue encore plus courte.
C’est à ce moment-là, au quatrième étage que j’ai vu apparaître son entrejambe.
Sa culotte lui était rentrée dans la chatte, et je pouvais voir juste ce qu’il fallait de ses grandes lèvres, entre lesquelles était enfoui le pauvre petit bout de tissu, le tout garni d’une épaisse broussaille de longs poils noirs qui surgissaient entre ses deux fesses, comme s’ils voulaient me sauter à la figure.
Ça a été pour moi comme une décharge électrique. Mon cœur s’est emballé, et mon sexe a encore grossi jusqu’à me faire mal. Je pense que je n’avais jamais atteint une telle taille. Je ne pouvais plus décoller mes yeux de cette splendeur de ...
... la nature en mouvement. Je suivais des yeux chaque frémissement du gras de ses fesses, chaque petit bourrelet de sa cellulite, chaque poil. Je comptais le nombre de fois où la petite culotte disparaissait en étouffant au fond de la fente entre ses deux lèvres qui s’écrasaient l’une contre l’autre, puis réapparaissait brièvement lorsque les deux lèvres s’écartaient puis redisparaissait sans avoir eu le temps de respirer, engloutie par les replis de chairs molles et poilues…
Il allait bien falloir que je lui rende ses packs de lait… et là elle verrait…
Nous sommes arrivés devant sa porte et la mienne, et je n’ai trouvé aucune issue.
Elle m’a dit poliment :
— Au fait, moi c’est Mathilde ! Tu veux prendre un café ?
J’ai décliné gentiment.
Là, il s’est passé quelque chose de magique : alors que j’avais encore la poignée d’un pack de lait dans la main, elle a attrapé la poignée et a tiré sur le pack de lait comme pour l’écarter de devant mon sexe. La poignée était trop petite, ce qui fait que nos deux mains étaient serrées l’une contre l’autre quand ça s’est passé. Elle a baissé les yeux vers mon sexe, découvrant l’ampleur de ce qu’elle avait provoqué, et a relevé les yeux vers moi. Complètement interloquée et choquée, elle est devenue toute rouge. Puis, les yeux dans le vide, elle a tourné les talons, est rentrée chez elle et a fermé sa porte sans dire un mot.
J’avais tout gâché, comme d’habitude, je ne la reverrai pas, c’était sûr.
Je suis rentré chez moi ...