Idylle au sixième étage - Histoires de Sexe

Idylle au sixième étage

... n’aurait pas besoin d’avoir deux femmes !

Nous étions tous un peu bourrés et Carole a alors répondu :

— Peut-être… c’est vrai qu’à toi toute seule que tu as mes seins en plus gros et ses fesses en plus grosses ! mais par contre, lui, il a un engin qui est beaucoup trop gros pour une seule femme !
— C’est vrai ! je suis d’accord avec toi ! eh dites ! peut-être qu’il vous faudrait un peu d’aide, les filles, non ? et puis vous êtes déjà deux ! si on est trois qu’est-ce que ça change ? En plus, il y en a tellement qu’il en restera sûrement un petit peu pour moi, non ?

Mathilde et Carole se sont regardées et m’ont regardé. J’ai acquiescé de la tête, alors elles se sont tournées vers la serveuse qui s’appelait Désirée.

— C’est d’accord ! mais il faut qu’on te prévienne ! Nous on est lesbiennes à la base.
— Ah bon ? Et lui ?
— Non, moi je suis hétéro ! ai-je répondu.
— Alors il est où le problème ?
— Le problème, ma grande, c’est que tu es plutôt appétissante, alors il est possible qu’on te tombe dessus aussi !
— OK, les filles, on pourra se brouter le minou si vous voulez ! y a pas de problème, c’est cool ! Mais moi, ce que je veux, c’est pouvoir m’asseoir sur son gros engin à lui !
— Ça, tu seras toute seule à le faire, ma grande !
— C’est pas vrai ! Vous voulez dire que je l’aurai pour moi toute seule ?
— Exactement ! Nous, on va te préparer le terrain et après il sera à toi !
— Non, mais quel gâchis ! Vous voulez dire que vous avez un engin comme ça dans ...

... votre lit et vous ne vous le mettez jamais dans la chatte ? Vous ne savez pas ce que vous perdez ! C’est comme de rouler sur un chemin de terre avec une Ferrari ! Vous allez le tuer ! Allez ! Emmenez-moi chez vous ! Je vais vous montrer, moi, comment on prend soin d’un bel engin comme ça !

Elle m’avait mis la main sur le sexe. Bizarrement par rapport à sa taille, elle avait des toutes petites mains.

Nous sommes rentrés, et pendant tout le trajet, je n’ai eu d’yeux que pour la poitrine monumentale de Désirée. Elle avait ce problème qu’on appelle les doubles seins. Une partie de ses seins était comprimée à mort dans les bonnets de son soutien-gorge qui pourtant était énorme, et une autre partie, pratiquement aussi grosse, débordait sur le dessus en formant deux grosses méduses noires flasques et ballottâtes qui se bousculaient à son décolleté.

Dans le métro, nous étions peu nombreux dans le wagon. Les filles ont commencé à se chauffer entre elles. Carole et Mathilde assises en face de moi étaient en train de se masturber mutuellement sous leurs jupes.

Désiré a dit :

— OK, les filles, j’ai compris. On ne va pas attendre d’être à la maison, c’est ça ?

Et elle a commencé à sortir ma queue dans le métro et à me sucer. Moi, j’ai plongé la main entre ses deux seins, c’est ce que j’attendais depuis un bon bout de temps et j’ai commencé à les sortir par le décolleté.

Arrivé à la station, j’ai eu beaucoup de mal à remettre ma queue dans mon pantalon, Désirée a eu ...