Le projet artistique (63)
Datte: 14/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... termina en nous laissant dans un état pas possible. Les queues des trois gars luisaient de liquide et leurs glands étaient gonflés d’excitation. Quant à nous, nos seins étaient durs comme du roc et nos chattes dégoulinaient de cyprine. Peter se leva et s’approcha de Liz, elle venait de lui faire signe de venir à elle. La queue raide se vit diriger vers les mamelles de mon amie. Elle les pressa et enserra le membre de Peter entre elles. Il commença alors à donner de petits coups de reins afin de baiser cette superbe paire de nichons. Liz léchait le gland ou crachait un peu dessus afin de faciliter le glissement. Peter n’en oublia pas pour autant Liz car d’une main il vint lui caresser la chatte. Olivier avait déjà sauté sur Carine; ils s’embrassaient tout en se masturbant mutuellement. Ils y allaient franchement, tellement que je me demandai s’ils ne voulaient pas se contenter d’une branlette.
Stephan n’osait trop venir à moi, il se pignolait comme un fou en matant ma vulve. Il en était presque à baver d’envie. Si tel semblait être son désir, je n’allais sûrement pas le freiner. Je lui fis signe de venir tout en écartant largement les jambes et en avançant mon bassin jusqu’au bord de l’accoudoir. Stephan comprit parfaitement le message et en moins de deux, il était en train de me lécher la chatte avec dévotion. Il faisait ça parfaitement bien, il me rentra rapidement un doigt dans le con pour me procurer plus de sensations. J’avais beaucoup de mal à tenir en équilibre sur ...
... l’accoudoir tellement je prenais de plaisir. Je me pétrissais les seins comme une folle en regardant les autres duos.
A côté de moi, Liz avait relevé un peu Peter pour lui tailler une belle pipe. Celui-ci continuait de doigter Liz du mieux qu’il pouvait. Mais la position et, surtout, la pipe que lui prodiguait Liz, ne l’aidaient en rien. Il râlait et marmonnait en allemand tout à son plaisir. Sur le canapé, les choses avaient bien avancé également. Carine était montée à califourchon sur Olivier. Elle se contentait pour l’instant de frotter ses lèvres vaginales contre la queue d’Olivier. Lui en profitait pour téter ses seins comme un bébé privé de lait depuis trop longtemps. J’étais aux anges avec ce cunnilingus mais je voulais plus, je voulais sentir sa queue. Mais alors que j’allais le relever pour le sucer ou le branler, je ne savais pas trop encore, il me mordilla presque le clitoris, me provoquant une violente décharge de plaisir au creux des reins. Je perdis l’équilibre et glissai du fauteuil. Stephan tenta bien de me retenir mais il ne put que m’accompagner au sol. Je me retrouvai sur le côté avec mon ami à moitié sur moi. J’avais un peu mal au coude mais ça allait. J’entendis, entre deux complaintes de plaisir, quelques ricanements venant des autres.
— Ça va ? me demanda Stephan.
— Oui. Et toi ?
— Oui, oui.
Je sentis tout à coup sa queue frotter contre ma cuisse. Tant pis pour la branlette ou la pipe, je la voulais en moi. S’il voulait bien. Après tout, ...