1. Le projet artistique (63)


    Datte: 14/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    Maxime narrateur
    
    Je me réveillai le lendemain matin la queue bien raide tout contre celle, toute aussi dure, d’Esteban. C’était marrant, ça faisait un peu duel à l’épée. Nous avions pris nos précautions, en mettant à sonner nos montres, histoire de ne pas se faire réveiller en fanfare par Dieter. Les huit mecs s’éveillèrent donc tranquillement. J’avais passé une excellente nuit en compagnie de mon ami. C’était vraiment plus que satisfaisant d’avoir quelqu’un qu’on aime ou qu’on apprécie fortement avec soi, quel que soit son sexe. Nous nous levâmes avec une verge bien dressée et prête à l’emploi. Je n’aurais certainement pas dit non si l’un d’eux aurait eu envie de me branler ou de me sucer. Je n’aurais probablement pas dédaigné lui rendre la pareille. Mais j’avais plutôt envie de retrouver ma chère et tendre Amandine. Nous nous regardions bêtement depuis deux minutes quand Stephan brisa le silence :
    
    — Euh, c’était sympa hier soir et cette nuit. Mais, euh, je voudrais aller voir Ida ce matin. Ça ne vous dérange pas ?
    
    —Non, non, je voulais aussi aller voir Amandine, dis-je rapidement.
    
    — Moi aussi. Et c’est vrai que j’ai bien aimé cette nuit... Même si je préfère être avec Marie, s’excusa presque Germain.
    
    —Ne t’en fait pas, moi aussi, je préfère passer ma nuit avec Svenja. Et euh, ce n’est pas parce que t’es un mec que je dis ça. Mais c’est Svenja, c’est...
    
    — Celle que tu aimes... Comme moi avec Liz. Comme nous tous avec nos copines.
    
    —Vous croyez pas que si ...
    ... on avait passé la nuit avec une autre fille on n’aurait pas eu plus de plaisir qu’entre nous, ni moins d’ailleurs.
    
    Je comprenais la réflexion de Felipe. Il me parut assez évident que j’aurais pris plaisir à partager mon lit avec lui, Sylvie, Liz ou Ida. Mais que ce plaisir aurait été multiplié par dix ou vingt si Amandine avait été avec moi. Tout à mes pensées, ma queue se rappela à mon bon souvenir en sursautant d’impatience. Il était grand temps d’aller les voir. En sortant dans le couloir, silencieux comme des chats en chasse, nous tombâmes nez à nez avec Paul et Dieter. J’aurais pu dire queue à queue tant les leurs étaient aussi rigides que les nôtres. Ils nous demandèrent ce que nous faisions-là et quand ils surent ce que nous comptions faire, ils eurent un large sourire eux aussi. Ils nous laissèrent pour aller retrouver leurs femmes, tout en nous rappelant qu’il fallait être prêts pour 7h30. Ça nous laissait une vingtaine de minutes, largement assez pour faire ce que nous voulions faire.
    
    J’entendis la porte de la chambre où dormaient Elisa et Hanna s’ouvrir et se refermer doucement au moment où Esteban ouvrait celle du dortoir des nanas. J’entrai en quatrième dans le dortoir, la faible lumière que laissaient passer les lourds rideaux du dortoir était suffisante pour distinguer qui était qui. Esteban se tenait déjà au-dessus du premier lit à gauche. Je reconnus Jutta avec Sylvie, Peter aussi qui, derrière moi, dirigeait déjà ses pas vers elle. Devant moi, Olivier ...
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