1. Sa petite entreprise ne connait plus la crise (1)


    Datte: 13/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... Mes genoux maintiennent mon poids décollé de son dos et il s’exécute. Cette rotation fait que son visage est idéalement placé pour… atteindre un endroit qui chez moi est humidifié au possible. Et sous mes yeux, son dard libéré des contraintes que lui imposait la station couchée sur le ventre… relève fièrement son gland nu.
    
    Je reprends mes cajoleries, tout en en projetant délicatement mon buste vers le centre de son anatomie. Ceci a pour conséquences de relever mon bassin et de guider sur son menton cette partie de moi qui avoisine sa bouche. La tentation est trop forte pour qu’il n’y succombe pas. Je tressaille soudain au contact de cette langue prometteuse. Elle aussi débute un périple osé. Mes grandes lèvres sont de toute façon déjà largement entrouvertes par ma position, mais également par cette envie qui me taraude.
    
    Et j’adore sentir sur les chairs fragiles de ce triangle soyeux, la barbe naissante de ce mari qui le lèche. Je l’ai donc amené tout doucettement là où mon ventre le voulait. Mes seins aussi viennent ajouter à la partie une contribution érotique plaisante. Pour exciter encore plus ce Pierre qui désormais est heureux de jouer, je les frotte sur cette poitrine largement dégagée. Une longue reptation qui me fait avancer mon visage vers un serpent pas du tout venimeux… lequel me nargue depuis quelques instants.
    
    Le sexe raide reste plaqué contre ce ventre où mes doigts prennent position. Ils vont à l’assaut de cette tour chaude, et puis… j’avoue que d’un ...
    ... coup, je me sens pressée. Cette fois, c’est ma bouche tout entière qui s’entrouvre pour faire glisser cette queue rigide dans mon palais velouté. Et je me prends d’affection pour cet épi au blé mûr, qui fait gémir mon homme dès que ma langue le titille. Ce tête-bêche est un délice. Les sensations que sa léchouille envoie à mon esprit se transforment en cet immense besoin de le sucer.
    
    Je ne renâcle plus et me tortille littéralement le bas du ventre sur sa figure. À tel point qu’il en est gêné dans ses mouvements, ce qui l’oblige à interrompre ses caresses terriblement sexuelles. Ou alors sa langue dévie et se retrouve sur un autre endroit, tout aussi sensible de mon corps. Une entrée au chemin moins fréquenté, mais ce soir… tout est permis. Il le sait ? Le sent-il pour s’y attarder aussi longuement ? En tous cas… ça ne me laisse pas indifférente et mes contorsions doivent le lui montrer.
    
    Est-ce lui ou moi qui cède en premier ? Aucune importance puisque le résultat est identique. Je me retrouve donc, amazone d’un instant à chevaucher un destrier fougueux. Pierre se contente de me cramponner par les hanches et suit mes soubresauts frénétiques. Il me maintient seulement pour ne pas être désarçonné par ces amplitudes que je donne à l’ensemble de mon corps. Je soulève celui-là sans rythme particulier, seulement attentive à ressentir chacune des sensations inouïes renvoyées par cette fiche sur laquelle je me plante avec une certaine violence.
    
    Existe-t-il une durée minimum ou ...
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