1. Sa petite entreprise ne connait plus la crise (1)


    Datte: 13/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... que ça peut me faire mal ou pire me déchirer. Mon mari calme le jeu. Lui a compris le désir du second mâle et il ne bouge plus, bite fichée en moi jusqu’à la garde. La pression sur ma chatte est énorme. Je sens celle-ci et que lentement la deuxième queue commence son avancée en dilatant les chairs. Je ne me débats que très mollement.
    
    Si au moins je disais non ! Mais je laisse faire et millimètre par millimètre les deux sexes d’hommes se fondent en moi. Ils Allan pousse avec des « ah » de plaisir. Cette fois, ils sont en place, tous les deux. Pour remuer en cadence, c’est une autre paire de manches. Et soit ils ne savent pas si prendre, soit, c’est plus compliqué que dans les films pornos… et du coup un de mes deux pourfendeurs se fait éjecter dès que son complice essaie de me limer. Une seconde tentative n’apporte guère plus de succès.
    
    Alors, sans rien dire Allan et Pierre se retirent. Mais ce n’est que pour remettre de l’ordre dans tout cela. Je suis ballottée sur un corps et celui-là n’est pas celui de moi époux. Mes bras sont en appui et je chevauche dans le bon sens cette fois une monture qui n’est pas celle que je monte d’ordinaire. Et c’est bien le museau de mon mari qui se permet un passage gluant dans la raie de mes fesses que lui offre ma posture. De plus les coups de reins de l’invité ne me laissent aucun répit. Et je sais soudain ce qui se mijote.
    
    Bon ! Pierre n’a pas souvent utilisé l’entrée des artistes. Mais là, dans ce contexte très particulier et ...
    ... surtout ma mise en condition, je ne hurle pas à la mort alors qu’il prépare le terrain d’un majeur chatouilleur. La suite… eh bien, puisque ce sont deux voies différentes, ça passe mieux. Et pour la première fois de ma vie… j’ai droit au grand jeu. Une double pénétration qui au début me donne quelques douleurs dues à une crispation exagérée. Mais elle s’estompe au fil des secondes et au troisième ou quatrième aller et retour, les chairs sont suffisamment distendues pour que j’y décèle les prémices à un plaisir différent.
    
    Je me dis aussi que les deux sexes qui transitent en moi doivent aussi transmettre à leurs propriétaires des émotions diverses. Cette seule idée fait encore monter d’un cran la chaleur et surtout, elle entraine une cascade de délires. Tous mes muscles d’un coup de tendent, et je pars dans une petite mort imprévue. Une orchestration magistrale, une réalisation parfaite et mes tressaillements sont communicatifs. Les deux mecs se libèrent dans de longs soupirs dont finalement je ne peux apprécier le degré. C’est fabuleux… et mes tremblements perdurent bien au-delà de la fin de leur pistonnage.
    
    Combien de temps sommes-nous restés dans cet accouplement à trois ? Moi sur mon coussin de douceur chaude, je n’ai pas la plus mauvaise place. Sur mon dos le souffle de cet amant qui reprend ses esprits. Puis par la force des choses, il faut qu’à l’issue de ce combat ou tous nos sommes vainqueurs, la dureté masculine se dilue dans une débandade obligatoire. Et leurs ...