1. Le prisonnier à la ferme. Un français, une allemande et ses jumelles. (2)


    Datte: 12/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... superbes des jumelles qu’il n’a touchées que pour leur éviter de se noyer.
    
    Il peut enfin admirer de près leur plastique irréprochable, deux seins bien fermes, un ventre plat qui se termine sur un fin duvet blond comme les blés. Il les fait étendre, écarte doucement leurs cuisses pour découvrir pour la première fois la fente virginale. Elles voudraient dans leur excitation qu’il fasse vite, mais lui veut tout le contraire. Il veut les rendre folles de désir...
    
    Pendant un temps interminable, passant de l’une à l’autre ou bien les deux en même temps, ses mains explorent tous les creux et les bosses des jumelles, titillant un téton, glissant sur de lèvres pleines, frottant sur des vulves gonflées d’où s’écoule un liquide clair. Elles le supplient d’aller plus loin, mais il leur refuse ce plaisir. Elles sont comme folles, mais au bout d’une heure, il les repousse, les laissant affamées de sexe, de son sexe qu’il leur a refusé pour ce soir. Elles le supplient, mais il ne cède pas.
    
    — C’est tout pour ce soir, faites de beaux rêves...
    
    Les deux jumelles ont du mal à s’endormir, des rêves de faune les dépucelant, les hantent une bonne partie de la nuit.
    
    Elles attendent le lendemain avec impatience pour la deuxième leçon. C’est enfin l’heure...
    
    Il recommence le même manège, mais une fois qu’il les a dévêtues, il leur demande qu’elles fassent de même pour lui puis qu’elles le lavent. (Elles l’ont assez épié pendant tant de mois dans le grand baquet de zinc). Elles ...
    ... redécouvrent ce corps d’homme fortement charpenté aux muscles saillants, à la peau tannée par les travaux des champs. Elles osent à peine le savonner, mais s’enhardissent de minute en minute. Il reste de marbre, son sexe n’a pas un soupçon d’érection. Comme dans un miroir, les jumelles descendent chacune le long de son corps et une fois arrivées en bas remontent jusqu’à son entrejambe. Leur mère les encourage :
    
    — Vous n’avez pas encore lavé sa verge, c’est plein de replis à cet endroit.
    
    Les jumelles regardent leur mère puis ce tuyau flasque, Eva se lance la première et prend avec appréhension la bête qui sommeille, en décalotte doucement la tête et savonne avec délicatesse l’organe. Enhardie par ce qu’elle voit, sa sœur vient la seconder et s’occupe du sac attaché à la base de la verge où deux boules bien dures roulent sous ses doigts. Eva, voyant son manque de réaction, ose lui demander :
    
    — On n’est pas assez belles et expertes pour vous faire bander ?
    
    Gabriel réagit enfin et son pénis prend de la consistance, se gonfle de sang et s’allonge un peu. Les filles persévèrent, fières de ce premier succès. Le tuyau flasque devient une colonne qui se dresse de plus en plus dont la consistance et la grosseur approchent celle d’un manche de pioche. Chacune y va de son commentaire :
    
    — Que c’est dur, et pourtant si doux !
    
    — Que c’est chaud ! Je ne croyais pas que ça allait devenir si gros.
    
    Gabriel est enfin en pleine érection, sa verge se redresse avec fierté. Il se ...