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Une de perdue, une de trouvée.
Datte: 11/12/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, voisins, Collègues / Travail vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, baillon, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... céleste. Mais tout en étant calée ainsi son bassin semble animé d’une vie propre. Mais sa respiration s’accélère. Je devine que sa jouissance s’annonce. Je peux enfin me laisser aller alors que jusqu’à maintenant j’essayais de ne pas me laisser entraîner trop vite et cracher mon jus, remplissant une capote avant que ma jeune maîtresse atteigne son nirvana. Elle reste ainsi allongée sur moi un long moment que je ne veux pas interrompre. — Merci. Oh, mon dieu, c’était encore meilleur que dans mes rêves les plus fous. Et toi ? — Délicieux de fraîcheur. — C’est un joli compliment. Alors je peux rester ? — Rester ? — La nuit. Passer toute la nuit avec toi. — Isa, je me vois mal te chasser maintenant. — Alors, c’est dit. J’appelle mes parents. Elle clique et aussitôt à sa mère au téléphone. — Mman. Je ne vais pas rentrer. Je vais dormir chez une copine. — Bien. — À demain. Bise. — Au rev… Elle revient vers moi. S’installe sur le canapé à côté de moi, les jambes repliées sous elle dans une pose désinvolte. — Je boirais bien quelque chose maintenant. Pas toi ? J’acquiesce. Je vais me lever, mais je me souviens que je n’ai plus ni pantalon ni slip et en plus la capote pendouille de ma verge. Heureusement elle se lève. — Je peux prendre une douche ? — Bien sûr. Tu connais la maison. Son départ me libère de ce trouble ridicule de me montrer ainsi à ma jeune maîtresse. Je profite de son absence pour me débarrasser de la capote. Je dois avoir l’air ...
... ridicule à moitié nu. Je fais quoi ? Je me rhabille ? J’enlève le reste ? Me voici mal à l’aise. J’opte pour le peignoir que je vais chercher dans la salle de bain. Elle est sous la douche. Elle chantonne. Moi à sa place je chanterais la chanson de serge Reggiani « Il suffirait de presque rien » qui me paraît de circonstance même si dans la chanson la différence d’âge entre les amants devait être bien plus importante que pour nous. — Je te sors un peignoir. — Merci. J’arrive. J’hésite encore. Décidément je me retrouve adolescent ayant perdu tous ses moyens ! J’hésite entre l’attendre dans la chambre ou dans le salon. Le salon, c’est mieux, cela fait moins mec pressé de reprendre les galipettes. À moins qu’elle veuille… Merde, quel con tu fais. Je pense. Salon, mais avec une lumière plus tamisée. Voilà le bon choix. Elle revient. Le peignoir est trop grand pour elle. C’est un des miens. Mais cela ne la dérange pas. Nous buvons. Elle s’allonge sur le canapé, sa tête sur mes jambes. Un long silence et puis : — Je peux te demander si ta séparation a quelque chose à voir avec mes parents ? — Pourquoi tu me demandes ça ? — Une fois, je les ai entendus parler de toi et d’Agnès. — Ah ? Et qu’est-ce qu’ils disaient ? — Qu’ils avaient fait une erreur, qu’ils avaient voulu aller trop vite. Ma mère regrettait de t’avoir écouté et de t’avoir conduit en bas. Mon père se reprochait aussi de n’avoir pas pu se retenir. Ils parlaient aussi d’une diode qui avait claqué ...