1. Une de perdue, une de trouvée.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, voisins, Collègues / Travail vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, baillon, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... pornos. Je me dis qu’elle va me sucer. Déjà je vois ses lèvres à peine soulignées par un maquillage léger, venir se poser sur mon gland, et puis…
    
    Mais non, elle me caresse doucement de la main. Elle se lève. A-t-elle changé d’avis. Je l’ai déçue. C’est la différence entre rêve et réalité. Mais c’est vers sa valise qu’elle se dirige, ouvre une pochette, en retire une boîte et revient avec, tout en extrayant ce que je ne peux ignorer alors que l’emballage déchiré elle en extrait un préservatif.
    
    Cela fait des années et des années que je n’ai pas mis de capote. Je constate que la fille est bien plus prudente que les parents. Au jour de l’an, si Nadia m’a rassuré sur leur « état », à aucun moment elle ne s’est posé la question pour ma femme et moi. Pour Agnès, j’imagine qu’elle avait dû apporter la preuve en se faisant tester. Mais moi. Et puis je comprends et me revient à l’esprit l’instance qu’elle avait déployée pour que je fasse faire un bilan de santé. Bilan complet que je n’ai fait que parcourir et qui probablement devait contenir un test HIV. La salope, elle avait tout prévu.
    
    La mère ! La fille ! J’ai baisé la mère, mais c’est la fille qui me baise.
    
    Elle s’agenouille sur le canapé et m’enjambe dans un mouvement dont la fluidité est magnifique. De sa main elle s’empare de mon sexe maintenant d’une raideur de jeune homme et le guide vers sa fente. Elle s’empale avec la même fluidité. Ma queue glisse sans vraie résistance, juste celle de chairs qui se laissent ...
    ... repousser pour lui céder le passage. Sa grotte est humide, étroite délicieuse.
    
    Elle est assise sur mes cuisses, posture de déesse bien droite avec cette poitrine qui ne connaît pas la pesanteur. Elle bouge en fermant les yeux. Je comprends qu’en plus de bien me sentir, elle doit revivre ce qu’elle a imaginé. Je me sens fier de pouvoir provoquer un tel désir.
    
    Elle rouvre les yeux. Ils brillent, des larmes coulent sur ses joues.
    
    — Isa, pourquoi tu pleures ?
    — C’est le bonheur. Pince-moi pour me montrer que je ne rêve pas. Non, non, si c’est un rêve alors je veux aller jusqu’au bout.
    — Viens.
    
    Je me sens « tout chose ». Je l’attire à moi. Enfin nous échangeons un vrai baiser. Mais après une bataille de langue dont je ne suis pas certain d’en sortir vainqueur, elle se redresse et me chevauche passant du pas, au trot, au galop pour recommencer encore et encore. C’est une furie et mon sexe est caressé par ce vagin étroit qu’aucune grossesse n’a déformé. Je caresse ses seins majestueux. Mes mains retrouvent le contact oublié des poitrines de ma jeunesse.
    
    — Tords-moi les tétons. Oui, fort… Comme ça…
    
    Elle se baise sur ma queue. Cela dure, dure, mais si au début j’ai craint de ne pas pouvoir me retenir, privé comme je l’étais de jouissance depuis des semaines, libido en panne, la capote a au moins le mérite de diminuer ma sensibilité.
    
    Et puis elle vient caler sa tête contre mon cou. Sa respiration est ponctuée par de petits cris et gémissements qui font une musique ...
«12...181920...24»