1. Une de perdue, une de trouvée.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, voisins, Collègues / Travail vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, baillon, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... suis endormie devant la télé. Ahhh…
    — Tu as mal ? Pourquoi tu parles si doucement ? Romain est à côté de toi ? Il n’est pas couché ?
    — Si, mais chez mes parents. Une amie n’allait pas bien alors je suis venue lui tenir compagnie.
    — Tu n’es pas à la maison. Tu es où ?
    — Chut elle dort à côté de moi.
    
    La situation est tragique et pourtant je m’en amuse. Ma femme essaye de tenir une conversation alors que les deux hommes ne veulent pas s’arrêter dans le devenir de leur plaisir, l’un enculant une femelle alors que lui-même se fait perdre par le même chemin.
    
    — Le film à la télé n’était pas intéressant pour que tu t’endormes ? Un vieux film en noir et blanc, sûrement.
    
    Elle saute sur l’occasion.
    
    — Voilà, c’est ça.
    — Oui, je vois. Pourtant cela doit être excitant.
    — Excitant ?
    — Mais oui, un black dans une blanche, un blanc dans un black !
    — Qu’est-ce que tu dis ?
    — Mets le haut-parleur, tu m’entendras mieux.
    
    Sans réfléchir, Nadia qui est assez près pour entendre bascule sur haut-parleur. Alors…
    
    — Ça va, Martial ! Son cul est bien ouvert ?
    
    La stupeur se lit sur tous les visages.
    
    — Mais sais-tu que celle que tu encules est ta collègue au lycée et celui qui parle est son mari. Tu sais, le gentil Marc. Nous nous sommes rencontrés… Au lycée justement…
    
    Ils comprennent. Tous les visages se tournent vers moi, vers la glace sans tain.
    
    — Tu es là ? dit Nadia, la plus prompte à comprendre.
    — Mais oui, aux premières loges. Je fais une magnifique vidéo ...
    ... qui va me servir pour mon divorce.
    — Marc, écoute-moi ? Ce n’est pas ce que…
    
    Agnès se réveille. Elle allait dire « ce que tu crois », mais la situation ne permet plus la dissimulation.
    
    — Allons, Marc il faut être raisonnable. Tu étais d’accord.
    
    C’est Louis qui essaie de palabrer pendant qu’il se dirige vers la porte où il constate qu’elle est fermée.
    
    — Allons, ouvre. Nous allons parler entre adultes responsables. Nous avons peut-être grillé les étapes, mais souviens-toi du premier janvier, tu étais bien présent et tu n’as pas protesté.
    — Oui, mais vous m’avez manipulé.
    — Allons, jamais. Tu étais consentant, souviens-toi !
    — Et j’étais consentant pour que ma femme couche avec la tienne ? (Je leur laisse le temps de comprendre que je sais). Et j’étais consentant pour que vous mettiez en scène vos dimanches soir dans la véranda avec la complicité de ma femme ?
    
    Un silence où ils réalisent que je sais tout.
    
    — On a peut-être forcé un peu, mais sans plus. Il n’y pas mort d’homme.
    — Non, mais un divorce où je vais me régaler.
    — Si tu fais ça, nous dirons que tu étais d’accord.
    — Si vous voulez jouer à ce petit jeu, écoutez-moi bien. Toi aussi, chérie, et en passant toi aussi, Martial. Tiens si on commençait par toi. Je pense que tu n’es qu’un pion dans cette histoire, mais je me demande si ta femme va apprécier la petite scène. Toi, chérie, ne remets plus les pieds à la maison qui en passant vient de mes parents. Retourne chez les tiens.
    — Marc, chéri, ...
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