Une de perdue, une de trouvée.
Datte: 11/12/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
voisins,
Collègues / Travail
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
attache,
baillon,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... la tête de lit et attire ma femme vers elle, vers son intimité. Agnès n’a d’autre choix que de s’exécuter. Mais a-t-elle envie de résister ? Aussitôt on voit sa tête bouger et il ne faut pas être devin qu’elle gouine Nadia. La croupe de ma femme est tentante.
Je filme Martial, le collègue de mon épouse glisser son mandrin redevenu une belle trique avec le spectacle des femmes dans ce que je devine être le cul encore humide du foutre que Louis a abandonné. Le gémissement s’échappe des cuisses de Nadia, un long gémissement, grondement de chienne enculée par une bite autrement plus longue que la mienne et même de Louis.
Je filme Louis qui s’avance. C’est au dernier moment que je comprends son intention. Alors que Martial couvre la chienne, son complice lui caresse les fesses. Des caresses qui s’aventurent vers le petit trou. Louis se penche et je le vois jouer de la bouche et de la langue vers l’anus de celui qui bourre lentement mon épouse. Il ne proteste pas.
Je filme Louis enculer son invité. Manifestement le chemin est « praticable », car son avancée se fait sans protestation.
Je filme ce quatuor pervers.
Et puis j’ai une idée. C’est le manteau de ma femme, abandonné sur un fauteuil qui me la donne. La possibilité d’une vengeance au niveau de l’affront.
D’abord je pose ma caméra sur le fauteuil qui m’a accueilli il y a… une éternité.
Ensuite je me glisse dans le couloir et sans bruit tourne la clé dans la serrure. Ils sont prisonniers et devront me « ...
... subir » jusqu’au bout.
Je retourne vers le miroir. Dans son manteau avec un peu de chance, il y a son téléphone, jamais elle ne s’en sépare.
Je compose son numéro. Je sais que l’on arrive à capter ici.
J’entends la sonnerie de l’autre côté. Nadia est la première à le remarquer, mais elle ne bouge pas. Je raccroche et recommence.
À nouveau la sonnerie. Louis aussi la remarque. Tous deux comprennent que c’est le portable d’Agnès. Ils se concertent, mais ne bougent pas. Merde, il faut qu’ils décrochent.
Je rappelle. Cette fois-ci, Nadia se dégage de ma femme et lui parle.
— Ton téléphone sonne.
Elle est un peu dans un trip et il lui faut quelques secondes pour réaliser.
— Laisse… Ahhhh
Martial la pilonne, lui-même poussé en avant par son enculeur.
Je raccroche, mais rappelle aussitôt.
— Ça fait quatre fois, c’est peut-être grave.
Cette fois-ci Nadia a pris aussitôt l’appareil.
— C’est Marc.
— Marc. Pourquoi ? Donne !
Mais ce n’est pas si facile. Elle a la tête posée sur le lit et ne peut se saisir du téléphone.
— Décroche et mets-le-moi.
Nadia appuie le téléphone contre l’oreille de celle qui est toujours en levrette, menottée, enculée par ce grand black, dont la littérature du moment est plutôt du style Marquis de Sade ou de Guillaume Apollinaire avec ses onze mille verges, que dans le menuet courtois.
— Marc. Qu’est-ce qu’il y a ?
— Mais qu’est-ce que tu fais cela fait dix fois que je t’appelle.
— Euh ! Je somnolais. Je me ...