-
La voisine du dessous.
Datte: 11/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... queue pendant que ses doigts me caressaient les couilles. Je sentais mon sperme grimper le long de ma verge. En connaisseuse elle le devina, et accéléra sa succion. Sa bouche et ses mains se déchaînèrent jusqu’à ce qu’une nouvelle décharge vienne lui inonder le palais, qu‘elle aspira jusqu’au bout, me gardant dans sa bouche jusqu’à ce que je sois complètement ramolli. Puis elle se redressa, pas mécontente de ses prouesses. Je pensais qu’elle allait me virer de chez elle. Mais ce ne fus pas le cas. Car la voisine était passablement excitée et elle avait bien l’intention de se soulager à son tour. - Avec tout ça tu m’as fait mouiller. Me lança-t-elle en troussant sa jupe jusqu’au dessus du nombril et en s’asseyant sur le parquet. La coquine s’était séparée de sa culotte, mais pas de ses bas. Elle se tenait les jambes largement ouvertes devant moi. Je pouvais contempler cette chatte qui me faisait tant fantasmer. Sa toison épaisse était brillante comme la fourrure d’un animal. Elle était séparée en deux par une fente béante et dégoulinante. Dont la couleur rose vif contrastait avec les poils. Les grandes lèvres étaient très épaisses. Larges et pigmentées. La voisine s’ouvrait vicieusement la chatte et la raie. Ses doigts tiraient sur les lèvres de son sexe pour me permettre de voir toute son intimité. Cette chatte était à potée de ma main. J’aurai donné n’importe quoi pour y fourrer mes doigts, mon nez, ma bouche ma langue. Je voulu m’approcher mais elle m’ordonna ...
... de ne pas bouger. - Tu regardes et tu te branles si tu veux, mais c’est tout ! Je ne comprenais pas pourquoi elle ne voulait pas de mes caresses. Puisqu’il n’y avait rien d’autre à faire. Je contemplais le spectacle. Elle plaquait sa main sur sa chatte ouverte en deux et se barbouillait les grandes lèvres et le clitoris avec sa mouille. Elle poursuivit sa caresse jusqu’à sa raie et enduisit son anus par la même occasion. Ses doigts étaient luisants et elle en introduisit trois dans sa fente, qu’elle maintenait béante de son autre main. Elle se travaillait la moule pendant un moment, puis, comme si cela ne lui suffisait plus, elle s’empara d’une grosse bougie et la pointa vers sa tirelire. Je croyais qu’elle ne pourrait jamais se l’introduire, vue le diamètre. Mais sa chatte devait en avoir vu d’autres. Car elle se l’enfila avec une aisance déconcertante. On aurait dit qu’elle l’avait aspiré. Elle imprima un mouvement de va-et-vient à l’engin qui rapidement se couvrait d’une écume blanchâtre. Elle se lima le vagin d’une main pendant que l’autre, elle se triturait le clitoris. Celui-ci décapuchonné et en érection, émergeait des ses long poils, comme une petite fraise. - Approche ! Me fit-elle. Mets-toi à califourchon au-dessus de ma tête. Le visage tourné vers ma chatte. Enfile-moi ta bite dans la bouche et remue-la pendant que je me branle. J’enjambais sa figure et aussitôt, elle empoigna ma verge et l’avala. Elle me pompa tout en continuant de se branler la ...