1. La voisine du dessous.


    Datte: 11/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... l’instrument.
    
    - Espèce de cochon. Tu as encore du sperme au bout de la queue. Je vais te montrer comment nettoyer ça !
    
    Elle promena l’embout en plastique dans mes poils. Dans un bruit de succion, j’ai vu disparaître mes poils dans le tuyau. Puis la voisine se saisit de ma verge pour l’enfiler dans l’embout. Je me sentis subitement aspiré et une partie de ma verge disparu dans le conduit. Je tentais tenté de me débattre, mais c‘était cause perdu, surtout qu‘avec sa main libre elle attrapa mes testicules et me les écrasa légèrement.
    
    - Si tu bouge, je t’arrache les couilles ! Menaça-t-elle. C’est pas si désagréable de se faire sucer la queue, non ? Je suis sûre que tu aimes déjà ça !
    
    Je ne pris pas la peine à répondre à ça. Et d’ailleurs
    
    pourquoi ! Elle faisait bien ce qu’elle avait envie de faire. Elle relâcha son étreinte et se mis à me peloter les couilles. Mon sexe qui avait débandé, retrouvait une belle raideur. Elle continua à me sucer avec l’aspi et à me caresser pendant quelques minutes, un sourire dominateur aux lèvres. Entre la crainte et le plaisir je ne savais que penser.
    
    Enfin elle coupa le contact de l’engin. D’un œil sévère, elle m’examina ma queue en détail. Elle la souleva et la tourna dans tous les sens, avec désinvolte.
    
    - Humm… je vois encore des traces de foutre. Je crois qu’il faut que je te nettoie mieux. Lâcha-t-elle.
    
    Avec une expression vicieuse qui me fit craindre le pire. Elle me saisi la verge à pleine main, et ouvrit en ...
    ... grande sa bouche. Je crus sur le moment qu’elle allait me la manger. Mais elle sortit sa langue d’entre ses lèvres, et tel un chat, se mit à laper ma verge à petits coups de langue. Pas la peine de vous précisez quel effet cette caresse à crée sur moi. Sa langue était chaude et agile et salivait sur tout la hampe. Quand elle arriva sur mon gland, elle l’englouti entre ses lèvres et une nouvelle fois, j’eu peur.
    
    Mais ses dents n’eurent fait que m’effleurer et sa langue s’enroula autour de mon gland. La pointe de sa langue titilla délicieusement le méat pendant qu’elle me pompait de toute sa bouche. D’une main, elle se mit à me pétrir les couilles. Elle me tétait et me suçait comme un gros sucre d’orge. Quand elle recracha ma queue, celle-ci luisait de salive et elle était raide comme jamais.
    
    Les lèvres et la langue de Brigitte se promenèrent sur mon pubis. Puis elle se recula comme pour admirer son œuvre. Mais l’expression de joie qui illuminait son visage pendant qu’elle me suçait à brusquement disparu. Elle fronça les sourcils et montra ma verge raide du doigt.
    
    - Mais tu en as encore envie, mon cochon ! Il faut que je te vide complètement pour que tu puisse la mettre dans ton slip.
    
    Elle m’agrippa le pénis et me la fourra de nouveau dans le tuyau de l’aspirateur qu’elle prit soin de remettre en fonction. Elle se trouvait à genoux à mes côtés, son visage à hauteur de mon nombril et ses gros seins appuyés sur ma cuisse. D’une main elle maintenait le tube dans le ...
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